commerçants de la section Unacois/Jappo du marché des Hlm est en grève aujourd’hui. A l’origine de ce mouvement d’humeur, une foire indésirable que le maire de la commune, Babacar Sadikh Seck, a installée sur le territoire communal.
Le marché des Hlm est sans vie aujourd’hui. Du moins, le tintamarre strident qu’on lui a toujours connu a été suppléé par un calme plat. Les commerçants affiliés à l’Unacois/Jappo veulent en découdre avec le maire de la commune qui a installé une foire sur l’avenue Cheikh Ahmadou Bamba.
Selon les commerçants, cette foire compromet leurs chiffres d’affaires aussi longtemps qu’ils seront envahis par des commerçants venus d’ailleurs. Aussi, accusent-ils le maire de vouloir tirer profit de cette foire. «Aujourd’hui, pour des intérêts financiers, il a contracté avec un promoteur à l’insu de tous pour occuper à nouveau l’avenue avec 229 tentes», disent-ils.
Très remontés contre leur édile, les commerçants disent ne pas comprendre l’attitude du maire alors qu’ils sont «toujours réguliers dans l’acquittement de leurs taxes».
Au même moment, les populations élèvent la voix. Mais leur souci n’est pas pécuniaire, il est plutôt lié à une insécurité que la foire pourrait occasionner. A noter que leurs récriminations ne datent pas d’aujourd’hui. Depuis le mois de juin, les populations avaient opposé au maire un refus catégorique de ce projet de foire. Non seulement, les riverains avaient prétexté l’insécurité, mais aussi l’insalubrité que les tenancier des pavillons pourraient occasionner.
C’est clair que Babacar Sadikh Seck est pris entre deux feux. Les populations qui rechignent et les commerçants qui ruent dans les brancards. Tous déclarent inopportune et impopulaire l’installation de cette foire sur l’avenue Cheikh Ahmadou Bamba.
Le marché des Hlm est sans vie aujourd’hui. Du moins, le tintamarre strident qu’on lui a toujours connu a été suppléé par un calme plat. Les commerçants affiliés à l’Unacois/Jappo veulent en découdre avec le maire de la commune qui a installé une foire sur l’avenue Cheikh Ahmadou Bamba.
Selon les commerçants, cette foire compromet leurs chiffres d’affaires aussi longtemps qu’ils seront envahis par des commerçants venus d’ailleurs. Aussi, accusent-ils le maire de vouloir tirer profit de cette foire. «Aujourd’hui, pour des intérêts financiers, il a contracté avec un promoteur à l’insu de tous pour occuper à nouveau l’avenue avec 229 tentes», disent-ils.
Très remontés contre leur édile, les commerçants disent ne pas comprendre l’attitude du maire alors qu’ils sont «toujours réguliers dans l’acquittement de leurs taxes».
Au même moment, les populations élèvent la voix. Mais leur souci n’est pas pécuniaire, il est plutôt lié à une insécurité que la foire pourrait occasionner. A noter que leurs récriminations ne datent pas d’aujourd’hui. Depuis le mois de juin, les populations avaient opposé au maire un refus catégorique de ce projet de foire. Non seulement, les riverains avaient prétexté l’insécurité, mais aussi l’insalubrité que les tenancier des pavillons pourraient occasionner.
C’est clair que Babacar Sadikh Seck est pris entre deux feux. Les populations qui rechignent et les commerçants qui ruent dans les brancards. Tous déclarent inopportune et impopulaire l’installation de cette foire sur l’avenue Cheikh Ahmadou Bamba.