"On a arrêté les opérations et on a donné un ultimatum" jusqu'à vendredi à midi (heure locale et GMT), a déclaré à Dakar le président de la Commission de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Cedeao), Marcel Alain de Souza.
"Si à midi il n'accepte pas de quitter la Gambie sous la bannière du Pr Condé, alors les troupes vont passer à l'intervention militaire proprement dite", a prévenu M. de Souza, qualifiant les opérations menées jusque là de "tirs de sommation".
"Il est hors de question qu'il reste sur place", a-t-il précisé. "Ce qu'on lui propose, c'est de partir", a-t-il indiqué.
Le département d'Etat américain a exprimé son soutien à cette intervention, considérant que "son objectif est de contribuer à stabiliser une situation tendue et de tenter de respecter la volonté du peuple gambien".
"Si à midi il n'accepte pas de quitter la Gambie sous la bannière du Pr Condé, alors les troupes vont passer à l'intervention militaire proprement dite", a prévenu M. de Souza, qualifiant les opérations menées jusque là de "tirs de sommation".
"Il est hors de question qu'il reste sur place", a-t-il précisé. "Ce qu'on lui propose, c'est de partir", a-t-il indiqué.
Le département d'Etat américain a exprimé son soutien à cette intervention, considérant que "son objectif est de contribuer à stabiliser une situation tendue et de tenter de respecter la volonté du peuple gambien".