Chers compatriotes,
je suis sénégalais, vivant en République de Guinée depuis 1995, précisément à Conakry sa capitale. Je ne suis pas un politicien, mais un politique qui songe au devenir de son pays, le Sénégal qu'il aime tant et qui lui a tout donné. Le destin a fait que je me suis retrouvé dans ce pays frère qui a vu naître mes enfants. Je suis dans le système éducatif et y occupe beaucoup de postes de responsabilité dans le privé. C'est avec un coeur meurtri que je suis tout ce qui se passe dans mon pays. Celui-ci, va mal sous la houlette de responsables véreux et sans scrupules.
Je suis remonté par l'habitude de certains parmi lesquels Cheikh Yérim Seck que je cite nommément, pour avoir partagé ne serait-ce qu'une seule fois, mon repas de midi à Dixinn (quartier de Conakry). Mon intervention fait, suite à la sortie de ce dernier qui veut faire croire à l'assistance, peut être, née après 1995 qu'à leur sortie de Sanar pendant que Sonko a choisi la politique, lui, il est parti en Europe pour ses études.
Je me porte en faux et le défie. De l'université de Saint-Louis, il s'est retrouvé ici, en Guinée où il a enseigné à l'Institut "Sainte Marie" comme professeur d'histoire. Parmi ses élèves, une de mes cousines pour être. Ensuite, il a été chargé de TD en droit international à l'université Gamal Abdel Nasser de Conakry. Marié à une guinéenne, il se transporte au PNUD, avant d'embrasser le métier de journaliste à Jeune Afrique.
Rappelez-vous de son altercation avec DADIS, haine à l'égard de celui-ci. Il revient sous le régime de Alpha Condé avec son fameux site, Conakry Actu d'où il a quitté sur la pointe des pieds (persona non grata).
Par ailleurs, je tiens à rappeler que je n'ai aucunement la prétention de séduire ou de s’attaquer à qui que ce soit. Mais, seules mes convictions en tant qu'adepte de la vérité explique le pourquoi de ma contribution. Qu'il cesse de ternir l'image de marque des gens avec cette mascarade intellectuelle. Bref, c'est l'histoire du renard et du corbeau. Je m'excuse humblement de cette réaction. Mais, je ne pouvais taire certaines délations et allégations.
Mar Diop
Depuis Conakry
je suis sénégalais, vivant en République de Guinée depuis 1995, précisément à Conakry sa capitale. Je ne suis pas un politicien, mais un politique qui songe au devenir de son pays, le Sénégal qu'il aime tant et qui lui a tout donné. Le destin a fait que je me suis retrouvé dans ce pays frère qui a vu naître mes enfants. Je suis dans le système éducatif et y occupe beaucoup de postes de responsabilité dans le privé. C'est avec un coeur meurtri que je suis tout ce qui se passe dans mon pays. Celui-ci, va mal sous la houlette de responsables véreux et sans scrupules.
Je suis remonté par l'habitude de certains parmi lesquels Cheikh Yérim Seck que je cite nommément, pour avoir partagé ne serait-ce qu'une seule fois, mon repas de midi à Dixinn (quartier de Conakry). Mon intervention fait, suite à la sortie de ce dernier qui veut faire croire à l'assistance, peut être, née après 1995 qu'à leur sortie de Sanar pendant que Sonko a choisi la politique, lui, il est parti en Europe pour ses études.
Je me porte en faux et le défie. De l'université de Saint-Louis, il s'est retrouvé ici, en Guinée où il a enseigné à l'Institut "Sainte Marie" comme professeur d'histoire. Parmi ses élèves, une de mes cousines pour être. Ensuite, il a été chargé de TD en droit international à l'université Gamal Abdel Nasser de Conakry. Marié à une guinéenne, il se transporte au PNUD, avant d'embrasser le métier de journaliste à Jeune Afrique.
Rappelez-vous de son altercation avec DADIS, haine à l'égard de celui-ci. Il revient sous le régime de Alpha Condé avec son fameux site, Conakry Actu d'où il a quitté sur la pointe des pieds (persona non grata).
Par ailleurs, je tiens à rappeler que je n'ai aucunement la prétention de séduire ou de s’attaquer à qui que ce soit. Mais, seules mes convictions en tant qu'adepte de la vérité explique le pourquoi de ma contribution. Qu'il cesse de ternir l'image de marque des gens avec cette mascarade intellectuelle. Bref, c'est l'histoire du renard et du corbeau. Je m'excuse humblement de cette réaction. Mais, je ne pouvais taire certaines délations et allégations.
Mar Diop
Depuis Conakry