La couverture du Gamou de Tivaouane n’est pas chose aisée, selon Sud Quotidien qui renseigne que cette année, comme les précédentes, des problèmes ont été notés dans la prise en charge de la presse. Le logement des journalistes, qui se trouve être le Conseil départemental de la ville, est très éloigné de l’esplanade des mosquées. Les voitures, à cause de la forte affluence, se déplacent difficilement dans la cité religieuse. De ce fait, nombreux sont les confrères qui ont déserté le lieu d’hébergement pour trouver un autre point de chute.
L’autre problème, selon le journal, c’est que les journalistes ont éprouvé des difficultés pour récupérer leurs badges. Pis, l’espace presse réservé aux journalistes par la Sonatel n’est pas disponible à temps. A la veille du Maouloud, il n’a été prêt que dans la soirée d’hier. Une faute qui n’incombe pas à la Sonatel, de l’avis des techniciens. L’agent informatique, Babacar Bâ, interpellé sur la question a soutenu : « Nous sommes sur place depuis les premières heures de la matinée, mais faute de tables, nous n’avons pas pu faire les installations à temps ».
Interrogé sur la question, le responsable en chef de la communication, Serigne Hamid Sy, a reconnu les difficultés et demande à la presse d’être compréhensive. « Il faut faire preuve d’empathie. Tivaouane a des problèmes d’hébergement. Des solutions sont en train d’être trouvés. Le président de la République est en train d’apporter sa pierre à l’édifice en construisant le complexe Seydi Hadji Malick Sy mais le projet n’est pas encore terminé. Les choses ne sont pas faciles, nous faisons de notre mieux pour qu’il y ait moins de grincements de dents », renseigne-t-il. Mieux précise-t-il, « les besoins d’hébergement ont augmenté car toutes les activités commémoratives du Maouloud sont organisées cette année à Tivaouane. Et, à cause de cela, les aménagements nécessaires n’ont pas pu être faits à temps ».
L’autre problème, selon le journal, c’est que les journalistes ont éprouvé des difficultés pour récupérer leurs badges. Pis, l’espace presse réservé aux journalistes par la Sonatel n’est pas disponible à temps. A la veille du Maouloud, il n’a été prêt que dans la soirée d’hier. Une faute qui n’incombe pas à la Sonatel, de l’avis des techniciens. L’agent informatique, Babacar Bâ, interpellé sur la question a soutenu : « Nous sommes sur place depuis les premières heures de la matinée, mais faute de tables, nous n’avons pas pu faire les installations à temps ».
Interrogé sur la question, le responsable en chef de la communication, Serigne Hamid Sy, a reconnu les difficultés et demande à la presse d’être compréhensive. « Il faut faire preuve d’empathie. Tivaouane a des problèmes d’hébergement. Des solutions sont en train d’être trouvés. Le président de la République est en train d’apporter sa pierre à l’édifice en construisant le complexe Seydi Hadji Malick Sy mais le projet n’est pas encore terminé. Les choses ne sont pas faciles, nous faisons de notre mieux pour qu’il y ait moins de grincements de dents », renseigne-t-il. Mieux précise-t-il, « les besoins d’hébergement ont augmenté car toutes les activités commémoratives du Maouloud sont organisées cette année à Tivaouane. Et, à cause de cela, les aménagements nécessaires n’ont pas pu être faits à temps ».