« Le Sénégal, qui a su très vite s’approprier les enjeux de cette démarche axée sur les résultats, a défini, en 2005, un cadre unifié des interventions qui a permis un suivi des réalisations faites sur la décennie. C’est ainsi que les données de suivi des indicateurs ont montré que la cible pour l’eau potable a été atteinte en 2013, soit bien avant la date butoir des Omd fixées pour 2015 permettant ainsi à plus de 90% de la population sénégalaise d’avoir accès à des points d’eaux améliorées », a dit le ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement. Mansour Faye renseigne que « des avancées majeures ont été enregistrées dans le sous secteur assainissement mais pas suffisantes pour atteindre la cible des Omd ». « Il reste encore du chemin à parcourir pour le Sénégal. En effet, plus de 3 millions de personnes vivent encore sans accès à des installations améliorées d’assainissement », souligne-t-il.
A en croire, M. Faye, le Sénégal a eu des performances remarquables dans le secteur de l’eau potable. « Une dynamique favorable est notée dans l’amélioration de l’accès au service d’eau potable avec un taux d’accès global de 87,2% au 31 décembre 2015 contre 86,6% à la même date en 2014 », explique-t-il avant d'ajouter : « En hydraulique urbaine, les performances restent satisfaisantes avec un taux d’accès global de 98% à l’échelle du périmètre affermé avec des résultats très encourageants du reste pour les autres centres urbains où l’effet des grands programmes de branchements sociaux ont permis d’atteindre un taux d’accès par branchement de 82%, soit 3 points de plus que par rapport à la cible des Omd ».
Pour ce qui est de l’assainissement, le Sénégal affiche des performances un peu plus modestes mais très encourageants, si on les compare à la moyenne de la sous région. « Les taux d’accès aux services sont respectivement de 62,2% et 36,7% en milieux urbain et rural », informe-t-il. Aussi, pour l’hydraulique rurale, la déserte sera-t-elle fortement améliorée à travers une centaine de systèmes d’adduction d’eau actuellement en cours de réalisation sur financement de partenaires financiers comme la Bad, l’Ue, la Belgique, le Japon, la Corée, etc., en plus de 250 autres systèmes Aep à réaliser dans le cadre du programme d’urgence de développement communautaire.
Il a, par ailleurs, annoncé, la réalisation, en milieu rural, de 181 nouveaux forages équipés de châteaux d’eau et réseaux sans compter 70 renouvellements d’ouvrages de captage, par la coopération chinoise soutenue par Eximbank. « Le sous secteur de développement a déjà bouclé un financement de 274 milliards FCfa qui permettront de mettre en œuvre des projets majeurs de gestion des eaux usées et pluviales tels que le démarrage effectif des travaux du grand projet de dépollution de la baie de Hann, le Projet de dépollution du Nord de Dakar, les travaux de renouvellement des vieilles canalisations dans les quartiers de Dakar comme la Médina, Fass, Gueule-Tapée, le projet d’assainissement de dix villes de l’intérieur du pays, le projet de la Cité Soleil et environnants », annonce-t-il.
A en croire, M. Faye, le Sénégal a eu des performances remarquables dans le secteur de l’eau potable. « Une dynamique favorable est notée dans l’amélioration de l’accès au service d’eau potable avec un taux d’accès global de 87,2% au 31 décembre 2015 contre 86,6% à la même date en 2014 », explique-t-il avant d'ajouter : « En hydraulique urbaine, les performances restent satisfaisantes avec un taux d’accès global de 98% à l’échelle du périmètre affermé avec des résultats très encourageants du reste pour les autres centres urbains où l’effet des grands programmes de branchements sociaux ont permis d’atteindre un taux d’accès par branchement de 82%, soit 3 points de plus que par rapport à la cible des Omd ».
Pour ce qui est de l’assainissement, le Sénégal affiche des performances un peu plus modestes mais très encourageants, si on les compare à la moyenne de la sous région. « Les taux d’accès aux services sont respectivement de 62,2% et 36,7% en milieux urbain et rural », informe-t-il. Aussi, pour l’hydraulique rurale, la déserte sera-t-elle fortement améliorée à travers une centaine de systèmes d’adduction d’eau actuellement en cours de réalisation sur financement de partenaires financiers comme la Bad, l’Ue, la Belgique, le Japon, la Corée, etc., en plus de 250 autres systèmes Aep à réaliser dans le cadre du programme d’urgence de développement communautaire.
Il a, par ailleurs, annoncé, la réalisation, en milieu rural, de 181 nouveaux forages équipés de châteaux d’eau et réseaux sans compter 70 renouvellements d’ouvrages de captage, par la coopération chinoise soutenue par Eximbank. « Le sous secteur de développement a déjà bouclé un financement de 274 milliards FCfa qui permettront de mettre en œuvre des projets majeurs de gestion des eaux usées et pluviales tels que le démarrage effectif des travaux du grand projet de dépollution de la baie de Hann, le Projet de dépollution du Nord de Dakar, les travaux de renouvellement des vieilles canalisations dans les quartiers de Dakar comme la Médina, Fass, Gueule-Tapée, le projet d’assainissement de dix villes de l’intérieur du pays, le projet de la Cité Soleil et environnants », annonce-t-il.