Un chapitre intitulé « Prisonniers politiques et détenus » soulève l’estimation d’un petit nombre de prisonniers politiques au Sénégal, mais reconnaît que le gouvernement aurait accordé l’accès à ces prisonniers aux organisations des droits de l’homme ou humanitaires.
Le rapport note également que plusieurs manifestants ont été arrêtés le 17 juin et ont reçu des peines de prison avec sursis, tout en étant maintenus en détention jusqu’au 28 juin 2022.
Le cas de l’activiste Alé Thiam, arrêté le 4 mai pour avoir posé des questions sur les réseaux sociaux concernant l’origine de la richesse de la fille du ministre Mansour Faye, est également cité. Le tribunal a finalement condamné l’activiste pour diffusion de fausses nouvelles à six mois de prison (dont cinq avec sursis) et à une amende de 100 000 francs CFA (163 dollars).
Le rapport souligne donc des problèmes majeurs de respect des libertés individuelles et de traitement des prisonniers politiques au Sénégal, ce qui n’est pas sans rappeler l’impact de son rapport pour l’année 2021 dans le pays.
senenewscom
Le rapport note également que plusieurs manifestants ont été arrêtés le 17 juin et ont reçu des peines de prison avec sursis, tout en étant maintenus en détention jusqu’au 28 juin 2022.
Le cas de l’activiste Alé Thiam, arrêté le 4 mai pour avoir posé des questions sur les réseaux sociaux concernant l’origine de la richesse de la fille du ministre Mansour Faye, est également cité. Le tribunal a finalement condamné l’activiste pour diffusion de fausses nouvelles à six mois de prison (dont cinq avec sursis) et à une amende de 100 000 francs CFA (163 dollars).
Le rapport souligne donc des problèmes majeurs de respect des libertés individuelles et de traitement des prisonniers politiques au Sénégal, ce qui n’est pas sans rappeler l’impact de son rapport pour l’année 2021 dans le pays.
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