Donner du sang est un acte citoyen qui contribue à sauver des personnes qui sont dans le besoin. Mais dans le Fouladou, beaucoup de citoyens refusent de faire le geste. Face à cette situation lourde de dangers pour les patients, le directeur régional de la Santé de Kolda, Dr. Yaya Baldé, veut miser sur la sensibilisation. Il a profité du lancement de la Semaine de la Santé de la Mère et de l’Enfant, pour faire son plaidoyer
“C’est un manque de connaissances. Il faut que nous qui sommes dans le secteur, en collaboration avec la presse et les acteurs communautaires, renforcions la sensibilisation. Parce quelqu’un qui ne connaît pas, il faut le sensibiliser sur l’importance du don de sang, afin qu’il puisse comprendre et donner son sang”, déclare Dr. Yaya Baldé. Qui, pour assurer l’autosuffisance en sang, invite les associations sportives et culturelles (ASC), à se mobiliser massivement, pour donner de leur sang, afin de sauver des vies humaines dans les structures sanitaires.
“On dit ASC, mais il y a que le S qui fonctionne, le C ne fonctionne pas. Il faut qu’on soit à la fois des sportifs, mais aussi qu’on donne du sang pour sauver des vies. Qu’on prenne d’autres jours pour mobiliser les ASC autour de ces activités, comme le don de sang. Que les jeunes sachent que donner de son sang, n’a aucun impact négatif sur leur santé.
Parce qu’avant de donner votre sang, les infirmiers vous font une petite consultation. Ils vérifient et quand ils se rendent compte que vous avez un facteur qui fait que vous ne pouvez pas donner, tout de suite, ils vous classent et vous ne donnez pas du sang. Mais, quand ils vérifient et ils trouvent que vous êtes en bonne santé, en ce moment, si vous donnez, vous n’avez aucun risque pour votre santé”, indique Dr. Yaya Baldé.
L’adjointe au Gouverneur de Kolda chargé du Développement, Marième Anne Madame Kouyaté, a, elle, insisté sur les jeunes qui sont une force vive.
“Nous constatons que la banque de sang manque de disponibilité, ce n’est pas normal. Alors que nous avons des jeunes en majorité au niveau de la région, qui peuvent donner du sang. Ce sont eux qui devront être au premier rang, en donnant du sang dans les structures sanitaires. Ce qui permettra aux populations qui sont dans le besoin, de pouvoir en bénéficier”, exhorte-t-elle.
La vie de nombreux malades dépend de la générosité des autres. C’est pourquoi, donner du sang est un signe de solidarité qui permet de sauver des vies, surtout celles des enfants et des femmes enceintes.
EnQuête
“C’est un manque de connaissances. Il faut que nous qui sommes dans le secteur, en collaboration avec la presse et les acteurs communautaires, renforcions la sensibilisation. Parce quelqu’un qui ne connaît pas, il faut le sensibiliser sur l’importance du don de sang, afin qu’il puisse comprendre et donner son sang”, déclare Dr. Yaya Baldé. Qui, pour assurer l’autosuffisance en sang, invite les associations sportives et culturelles (ASC), à se mobiliser massivement, pour donner de leur sang, afin de sauver des vies humaines dans les structures sanitaires.
“On dit ASC, mais il y a que le S qui fonctionne, le C ne fonctionne pas. Il faut qu’on soit à la fois des sportifs, mais aussi qu’on donne du sang pour sauver des vies. Qu’on prenne d’autres jours pour mobiliser les ASC autour de ces activités, comme le don de sang. Que les jeunes sachent que donner de son sang, n’a aucun impact négatif sur leur santé.
Parce qu’avant de donner votre sang, les infirmiers vous font une petite consultation. Ils vérifient et quand ils se rendent compte que vous avez un facteur qui fait que vous ne pouvez pas donner, tout de suite, ils vous classent et vous ne donnez pas du sang. Mais, quand ils vérifient et ils trouvent que vous êtes en bonne santé, en ce moment, si vous donnez, vous n’avez aucun risque pour votre santé”, indique Dr. Yaya Baldé.
L’adjointe au Gouverneur de Kolda chargé du Développement, Marième Anne Madame Kouyaté, a, elle, insisté sur les jeunes qui sont une force vive.
“Nous constatons que la banque de sang manque de disponibilité, ce n’est pas normal. Alors que nous avons des jeunes en majorité au niveau de la région, qui peuvent donner du sang. Ce sont eux qui devront être au premier rang, en donnant du sang dans les structures sanitaires. Ce qui permettra aux populations qui sont dans le besoin, de pouvoir en bénéficier”, exhorte-t-elle.
La vie de nombreux malades dépend de la générosité des autres. C’est pourquoi, donner du sang est un signe de solidarité qui permet de sauver des vies, surtout celles des enfants et des femmes enceintes.
EnQuête