L’éducation est le levier le plus important qui permet à une société de s’offrir toutes les bases fondamentales que sont « la culture, l’économie, le spirituel, le sport etc. ».
Ces piliers fondamentaux ne peuvent prospérer sans une bonne éducation. Même la politique ne peut pas servir sans qu’il y ait un peuple bien éduqué, confie M. Malick Fall, agent en génie civil. Pour ce père de famille, l’éducation n’est rien d’autre que l’apprentissage de la vie car un peuple bien éduqué est un peuple civilisé. C’est à partir d’une bonne éducation qu’on arrive à discerner le vrai du faux et le mal du bien. Mais de nos jours ces valeurs commencent à disparaître car si on arrive à un niveau où les écoles ferment leurs portes par peur de représailles, c’est inadmissible.
Et les politiciens qui sèment la pagaille actuellement dans ce pays, sortent de ces écoles et ont été formés pour servir la société et donner le bon exemple pour la jeunesse d’aujourd’hui qui sera l’avenir de demain. Sous quelque forme que ça soit, si leurs démarches riment avec la violence et l’anarchie, l’heure est grave, se désole-t-il. Avant de poursuivre :
« Actuellement nous faisons de grand bonds en arrière. Si, à chaque fois qu’il y a une manifestation, les écoles ferment leurs portes par peur de représailles, cela devient alarmant. Et la justice dans tout cela, s’interroge-t-il. Cette justice qui rime avec classe sociale n’opprime que les plus faibles. ».
Selon M. Fall, si les écoles ferment leurs portes, la rue prendra la relève et ne produira que des marginaux. Aujourd’hui, tous les parents d’élèves, les enseignants, les élèves ainsi que la majorité de notre vaillant peuple se joignent à moi pour crier haut et fort, ‘’au secours’’. Trop, c’est trop, l’avenir c’est la jeunesse. Mais une jeunesse sans éducation est un fléau, a-t-il dit
De son côté, Ndèye Alima Ndiaye, enseignante et mère de famille de son état, pense qu’il est temps que les politiciens changent de méthode car la violence n’a jamais résolu quelque chose. C’est inacceptable qu’à chaque fois qu’il y aune manifestation, les élèves restent à la maison, cela est inadmissible.
« Il est temps que les autorités de ce pays réagissent car la situation est devenue alarmante. Depuis le début de la semaine l’école est perturbée à cause des meetings, manifestations etc. On en a ras-le bol », déclare-t-elle.
Et de poursuivre en disant qu’ « au moment où les politiciens empêchent nos enfants d’aller à l’école, leurs enfants à eux sont inscrits dans les plus chers établissements à l’étranger loin de tout ce brouhaha… Il est temps qu’ils respectent le droit des élèves car cela n’est rien d’autre qu’une forfaiture».
Un autre interlocuteur du nom d’Ousseynou Niang pense qu’il est temps que les politiciens tiennent un langage de vérité aux populations.
« Ils sont en train de manipuler les Sénégalais, qu’ils soient du côté du régime ou de l’opposition. Et ça on ne va pas l’accepter. Les politiciens nous tiennent en otages pour leurs intérêts personnels. Et à chaque fois, c’est nous le bas peuple qui payons les pots cassés. Avec cette situation, aucun parent d’élèves n’ose sortir ses enfants pour les amener à l’école à cause de la situation qui prévaut actuellement dans ce pays. L’heure est grave et tout le monde est en danger. Il est temps que ça cesse. En tout cas, pour ma part, je compte retenir mes enfants à la maison jusqu’à la semaine prochaine jusqu’à ce que la situation redevienne normale. C’est mieux que de les laisser à la merci de ces politiciens que ne sont là que pour leurs propres intérêts », at-il conclu.
Le Témoin
Ces piliers fondamentaux ne peuvent prospérer sans une bonne éducation. Même la politique ne peut pas servir sans qu’il y ait un peuple bien éduqué, confie M. Malick Fall, agent en génie civil. Pour ce père de famille, l’éducation n’est rien d’autre que l’apprentissage de la vie car un peuple bien éduqué est un peuple civilisé. C’est à partir d’une bonne éducation qu’on arrive à discerner le vrai du faux et le mal du bien. Mais de nos jours ces valeurs commencent à disparaître car si on arrive à un niveau où les écoles ferment leurs portes par peur de représailles, c’est inadmissible.
Et les politiciens qui sèment la pagaille actuellement dans ce pays, sortent de ces écoles et ont été formés pour servir la société et donner le bon exemple pour la jeunesse d’aujourd’hui qui sera l’avenir de demain. Sous quelque forme que ça soit, si leurs démarches riment avec la violence et l’anarchie, l’heure est grave, se désole-t-il. Avant de poursuivre :
« Actuellement nous faisons de grand bonds en arrière. Si, à chaque fois qu’il y a une manifestation, les écoles ferment leurs portes par peur de représailles, cela devient alarmant. Et la justice dans tout cela, s’interroge-t-il. Cette justice qui rime avec classe sociale n’opprime que les plus faibles. ».
Selon M. Fall, si les écoles ferment leurs portes, la rue prendra la relève et ne produira que des marginaux. Aujourd’hui, tous les parents d’élèves, les enseignants, les élèves ainsi que la majorité de notre vaillant peuple se joignent à moi pour crier haut et fort, ‘’au secours’’. Trop, c’est trop, l’avenir c’est la jeunesse. Mais une jeunesse sans éducation est un fléau, a-t-il dit
De son côté, Ndèye Alima Ndiaye, enseignante et mère de famille de son état, pense qu’il est temps que les politiciens changent de méthode car la violence n’a jamais résolu quelque chose. C’est inacceptable qu’à chaque fois qu’il y aune manifestation, les élèves restent à la maison, cela est inadmissible.
« Il est temps que les autorités de ce pays réagissent car la situation est devenue alarmante. Depuis le début de la semaine l’école est perturbée à cause des meetings, manifestations etc. On en a ras-le bol », déclare-t-elle.
Et de poursuivre en disant qu’ « au moment où les politiciens empêchent nos enfants d’aller à l’école, leurs enfants à eux sont inscrits dans les plus chers établissements à l’étranger loin de tout ce brouhaha… Il est temps qu’ils respectent le droit des élèves car cela n’est rien d’autre qu’une forfaiture».
Un autre interlocuteur du nom d’Ousseynou Niang pense qu’il est temps que les politiciens tiennent un langage de vérité aux populations.
« Ils sont en train de manipuler les Sénégalais, qu’ils soient du côté du régime ou de l’opposition. Et ça on ne va pas l’accepter. Les politiciens nous tiennent en otages pour leurs intérêts personnels. Et à chaque fois, c’est nous le bas peuple qui payons les pots cassés. Avec cette situation, aucun parent d’élèves n’ose sortir ses enfants pour les amener à l’école à cause de la situation qui prévaut actuellement dans ce pays. L’heure est grave et tout le monde est en danger. Il est temps que ça cesse. En tout cas, pour ma part, je compte retenir mes enfants à la maison jusqu’à la semaine prochaine jusqu’à ce que la situation redevienne normale. C’est mieux que de les laisser à la merci de ces politiciens que ne sont là que pour leurs propres intérêts », at-il conclu.
Le Témoin