Quelques jours après la mort de deux jeunes manifestants à Kossanto, dans la région de Kédougou, les résultats des autopsies ont été publiés hier. Selon le médecin-légiste Tandian Foulaké exerçant au Centre hospitalier régional Amath Dansokho de Kédougou, le premier nommé Abrahim Ouedraogo de nationalité burkinabè est probablement décédé d’une plaie pénétrante thoraco-abdominale par projectile avec hémorragie interne. Quant à la deuxième personne décédée, elle aussi lors des manifestations survenues dans la zone d’orpaillage, elle s’appelle Bakary Cissokho.
D’après le médecin légiste, il est probablement décédé de traumatisme crânien ouvert pouvant être en rapport avec un projectile. Les deux étaient respectivement âgés de 27 et de 58 ans et travailleurs comme orpailleurs à Khossanto. Les 35 personnes arrêtées lors de ces manifestations ont été libérées hier par le procureur de la République près le tribunal de grande instance de Tambacounda.
Ces 35 manifestants étaient détenus dans les locaux de la gendarmerie de Khossanto. Ils ont retrouvé leur familles respectives suite à des négociations entre l’État et les populations locales qui a été présidée par le ministre de l’Intérieur, Antoine Félix Diome. Le maire de la commune de Khossanto, Mamady Cissokho, a également usé de ses relations et plaidé pour leur libération. En outre, une des familles éplorées s’est réunie et a décidé de surseoir à sa plainte tout en s’en remettant au bon Dieu.
D’après le médecin légiste, il est probablement décédé de traumatisme crânien ouvert pouvant être en rapport avec un projectile. Les deux étaient respectivement âgés de 27 et de 58 ans et travailleurs comme orpailleurs à Khossanto. Les 35 personnes arrêtées lors de ces manifestations ont été libérées hier par le procureur de la République près le tribunal de grande instance de Tambacounda.
Ces 35 manifestants étaient détenus dans les locaux de la gendarmerie de Khossanto. Ils ont retrouvé leur familles respectives suite à des négociations entre l’État et les populations locales qui a été présidée par le ministre de l’Intérieur, Antoine Félix Diome. Le maire de la commune de Khossanto, Mamady Cissokho, a également usé de ses relations et plaidé pour leur libération. En outre, une des familles éplorées s’est réunie et a décidé de surseoir à sa plainte tout en s’en remettant au bon Dieu.