Alors que les deux tourtereaux filaient le parfait amour, les services de contrôle de la société «Phone Group» font état de la disparition de beaucoup d’articles. Les contrôleurs ont relevé que deux téléphones Samsung Galaxy Edge ainsi que des produits de beauté ont été dérobés par on ne sait qui. Le total du préjudice est estimé à une somme de 6 millions de FCFA.
En réalité Samba avait, peu de temps après son arrivée dans la société, eu l’ingénieuse idée de créer un compte fictif où il stockait des chèques cadeaux qu’il volait à chaque affaire enregistrée pour l’entreprise. Après vérification, les «flics» de la boite parviennent à remonter jusqu’à Samba. Il sera par la suite conduit au commissariat de police.
Attrait à la barre du tribunal, l’amoureux n’y est pas allé par quatre chemins pour avouer sa faute : «Je reconnais les faits. En effet je faisais détourner quelques articles de la société quand j’y travaillais. Mais je n’ai revendu aucun de ces articles. J’ai fait plaisir à quelques personnes. J’ai donné un Galaxy à Astou qui est ma copine le jour de son anniversaire pour lui faire plaisir et quelques produits de beauté que je lui offrais de temps en temps. Mais nous avons presque restitué le tout. Le reste tourne autour de deux millions et je m’engage à les rembourser», a déclaré le prévenu qui a tenu à laver sa copine à grand eau.
Des propos corroborés par ceux de la jeune fille Astou Mbaye : «Je suis la copine et collègue de Samba Ndiaye. Le jour de mon anniversaire, il m’a offert un téléphone de marque Samsung. Et bien avant ça, il m’offrait de petits cadeaux. Mais je réitère mes propos qui apparaissent dans le procès-verbal, j’ignorais complètement la provenance des cadeaux qu’il me faisait. Si je savais que tout ce qu’il m’a donné était volé je ne l’aurais jamais pris», a dit la jeune ingénieure. Prenant la parole, le conseil de la partie civile a tenté de charger la jeune Astou Mbaye. Selon la robe noire, la fille était bien au courant de toutes les manigances frauduleuses de son petit ami car, considère-t-il, ils ont agi de concert.
Le procureur de la République a écarté le délit d’association de malfaiteurs. Par contre il a demandé 3 mois de prison pour escroquerie. Les avocats de la défense ont plaidé la relaxe pure et simple, arguant du statut de délinquants primaires de leurs clients. Au finish Astou Mbaye a bénéficié de la relaxe, Samba Ndiaye un peu moins chanceux a écopé de 6 mois assortis du sursis.
En réalité Samba avait, peu de temps après son arrivée dans la société, eu l’ingénieuse idée de créer un compte fictif où il stockait des chèques cadeaux qu’il volait à chaque affaire enregistrée pour l’entreprise. Après vérification, les «flics» de la boite parviennent à remonter jusqu’à Samba. Il sera par la suite conduit au commissariat de police.
Attrait à la barre du tribunal, l’amoureux n’y est pas allé par quatre chemins pour avouer sa faute : «Je reconnais les faits. En effet je faisais détourner quelques articles de la société quand j’y travaillais. Mais je n’ai revendu aucun de ces articles. J’ai fait plaisir à quelques personnes. J’ai donné un Galaxy à Astou qui est ma copine le jour de son anniversaire pour lui faire plaisir et quelques produits de beauté que je lui offrais de temps en temps. Mais nous avons presque restitué le tout. Le reste tourne autour de deux millions et je m’engage à les rembourser», a déclaré le prévenu qui a tenu à laver sa copine à grand eau.
Des propos corroborés par ceux de la jeune fille Astou Mbaye : «Je suis la copine et collègue de Samba Ndiaye. Le jour de mon anniversaire, il m’a offert un téléphone de marque Samsung. Et bien avant ça, il m’offrait de petits cadeaux. Mais je réitère mes propos qui apparaissent dans le procès-verbal, j’ignorais complètement la provenance des cadeaux qu’il me faisait. Si je savais que tout ce qu’il m’a donné était volé je ne l’aurais jamais pris», a dit la jeune ingénieure. Prenant la parole, le conseil de la partie civile a tenté de charger la jeune Astou Mbaye. Selon la robe noire, la fille était bien au courant de toutes les manigances frauduleuses de son petit ami car, considère-t-il, ils ont agi de concert.
Le procureur de la République a écarté le délit d’association de malfaiteurs. Par contre il a demandé 3 mois de prison pour escroquerie. Les avocats de la défense ont plaidé la relaxe pure et simple, arguant du statut de délinquants primaires de leurs clients. Au finish Astou Mbaye a bénéficié de la relaxe, Samba Ndiaye un peu moins chanceux a écopé de 6 mois assortis du sursis.