L’atelier de restitution du passage du Sénégal devant le Comité des droits de tous les travailleurs migrants s’est tenu, ce jour, à l’ intention des Conseils consultatifs national des droits de l’homme. De l’avis du Directeur des droits humains, Mamadou Moustapha Sèye, conformément à la Convention des Nations Unies pour la Protection des Droits de tous les Travailleurs migrants et des membres de leur famille, à laquelle a adhéré le Sénégal, le 09 juin 1999, notre pays demeure, plus que jamais, animé d’une volonté ferme pour assurer le respect de ses obligations en vertu de ladite Convention.
« Les Sénégalais commencent maintenant à s’habituer, à connaitre le Conseil consultatif national des droits de l’homme, qui est vraiment un organe de promotion et de protection des droits de l’homme », a indiqué Mamadou Moustapha Sèye. Selon le magistrat, la situation des migrants est acceptable de manière générale au Sénégal. Les migrants, qui travaillent au Sénégal, bénéficient d’un cadre de protection propice à la promotion des droits de l’homme. « La situation est acceptable d’une manière générale. Les travailleurs migrants qui travaillent au Sénégal bénéficient d’un cadre de protection propice à la promotion des droits de l’homme. Nous avons passé en revue beaucoup de choses, notamment en matière de santé, de statuts des femmes travailleurs migrants, de sécurité sociale, et de pensions de retraites », a déclaré M. Sèye.
Toutefois, même si des félicitations ont été adressées au Sénégal, le Directeur des droits humains souligne que des recommandations ont été faites par rapport à la syndicalisation des migrants et du manque de structure de rétention administratif. « En matière de syndicat, les migrants ne peuvent pas diriger de syndicat au Sénégal, mais ils peuvent adhérer. L'autre point concerne le manque de structure de rétention administrative. Quand un étranger est en situation irrégulière, l'usage veut qu'on le mette dans des centres de rétentions et non dans les prisons ou dans les commissariats. Le Sénégal ne dispose pas de centre de rétention », explique-t-il.
« Les Sénégalais commencent maintenant à s’habituer, à connaitre le Conseil consultatif national des droits de l’homme, qui est vraiment un organe de promotion et de protection des droits de l’homme », a indiqué Mamadou Moustapha Sèye. Selon le magistrat, la situation des migrants est acceptable de manière générale au Sénégal. Les migrants, qui travaillent au Sénégal, bénéficient d’un cadre de protection propice à la promotion des droits de l’homme. « La situation est acceptable d’une manière générale. Les travailleurs migrants qui travaillent au Sénégal bénéficient d’un cadre de protection propice à la promotion des droits de l’homme. Nous avons passé en revue beaucoup de choses, notamment en matière de santé, de statuts des femmes travailleurs migrants, de sécurité sociale, et de pensions de retraites », a déclaré M. Sèye.
Toutefois, même si des félicitations ont été adressées au Sénégal, le Directeur des droits humains souligne que des recommandations ont été faites par rapport à la syndicalisation des migrants et du manque de structure de rétention administratif. « En matière de syndicat, les migrants ne peuvent pas diriger de syndicat au Sénégal, mais ils peuvent adhérer. L'autre point concerne le manque de structure de rétention administrative. Quand un étranger est en situation irrégulière, l'usage veut qu'on le mette dans des centres de rétentions et non dans les prisons ou dans les commissariats. Le Sénégal ne dispose pas de centre de rétention », explique-t-il.