A une question sur la traque des biens mal acquis comme promesse électorale pris par tous les candidats de la coalition « Benno Siggil Sénégal, sans langue de bois, l'édile de la ville de Bignona, Mamadou Lamine Keita répond qu'elle est une idée des alliées politiques de Macky Sall qui le desserve afin de précipiter sa chute car ils seront ses futurs adversaires pour l'élection présidentielle de 2017. Mieux dans ce sens, il indexe Moustapha Niasse et Ousmane Tanor Dieng qu'il accuse d'être derrière cette erreur politique monumentale du régime de Macky Sall.
Mamadou Lamine Keita pose la question du renvoi de l'accusation de la charge par la preuve, en ces termes « Il se dit que tous les deux « Moustapha Niasse et Ousmane Tanor Dieng », ils pèsent des milliards. Poussant son argumentaire plus loin, Mamadou Lamine Keita se demande quelle serait alors la provenance de tous ces milliards ? Dans le même ordre d'idées, il répond « A ce que je sache, Tanor Dieng n'est pas venu de Nguéniène avec des milliards, ni Niasse de Keur Madiébel avec des milliards". Un peu plus loin, il indique à la CREI la voie à suivre « Si la CREI doit continuer des poursuites, il serait indiqué qu'elle s'intéresse aux cas des anciens barons du Parti socialiste car les derniers publics sous Senghor, sous Diouf, sous Wade, sous Macky Sall, ont la même valeur et l'exigence de rendre compte ne doit pas s'inscrire dans un intervalle temporaire »
Mamadou Lamine Keita pose la question du renvoi de l'accusation de la charge par la preuve, en ces termes « Il se dit que tous les deux « Moustapha Niasse et Ousmane Tanor Dieng », ils pèsent des milliards. Poussant son argumentaire plus loin, Mamadou Lamine Keita se demande quelle serait alors la provenance de tous ces milliards ? Dans le même ordre d'idées, il répond « A ce que je sache, Tanor Dieng n'est pas venu de Nguéniène avec des milliards, ni Niasse de Keur Madiébel avec des milliards". Un peu plus loin, il indique à la CREI la voie à suivre « Si la CREI doit continuer des poursuites, il serait indiqué qu'elle s'intéresse aux cas des anciens barons du Parti socialiste car les derniers publics sous Senghor, sous Diouf, sous Wade, sous Macky Sall, ont la même valeur et l'exigence de rendre compte ne doit pas s'inscrire dans un intervalle temporaire »