Après plusieurs sollicitions d’autorités locales, de personnalités de la commune et du département de Keur Massar, les femmes de Malika s’en sont ouvertes à la féministe Gabrielle Kane, qui s’était engagée à résoudre le problème.
Dans le département de Keur Massar, les femmes étaient obligées de se rendre au sein des cliniques privées, pour effectuer les échographies obligatoire au cours de la grossesse, avec, à chaque fois, une facture de 25.000 FCfa, comme elles en ont témoigné lors de la cérémonie de remise au sein du poste de santé.
Désormais, le poste de santé de Malika dispose d’un appareil d’échographie, une première dans le tout nouveau département au sein d’une structure publique, un soulagement pour les femmes de la localité, qui ont largement remercié la bienfaitrice.
« C’est une façon pour nous de démarrer les 16 jours d’activisme contre la violence basée sur le genre. L’activisme d’aujourd’hui, c’est aussi des actions, pas que des paroles inutiles. C’est une violence de ne pas pouvoir avoir un suivi médical correct pendant la grossesse. Aucune femme sénégalaise, ne devrait avoir à subir cette forme de violence », a répondu Gabrielle Kane lors de la cérémonie.
« Ma cause, c’est celle des femmes, et elle est bien plus grande que celles de tous les hommes politiques de ce pays réunis. Ils se succèderont et nous devrons continuer à nous battre pour nos droits et ceux de nos filles », a-t-elle conclu, lors de son discours devant les femmes.
Dans le département de Keur Massar, les femmes étaient obligées de se rendre au sein des cliniques privées, pour effectuer les échographies obligatoire au cours de la grossesse, avec, à chaque fois, une facture de 25.000 FCfa, comme elles en ont témoigné lors de la cérémonie de remise au sein du poste de santé.
Désormais, le poste de santé de Malika dispose d’un appareil d’échographie, une première dans le tout nouveau département au sein d’une structure publique, un soulagement pour les femmes de la localité, qui ont largement remercié la bienfaitrice.
« C’est une façon pour nous de démarrer les 16 jours d’activisme contre la violence basée sur le genre. L’activisme d’aujourd’hui, c’est aussi des actions, pas que des paroles inutiles. C’est une violence de ne pas pouvoir avoir un suivi médical correct pendant la grossesse. Aucune femme sénégalaise, ne devrait avoir à subir cette forme de violence », a répondu Gabrielle Kane lors de la cérémonie.
« Ma cause, c’est celle des femmes, et elle est bien plus grande que celles de tous les hommes politiques de ce pays réunis. Ils se succèderont et nous devrons continuer à nous battre pour nos droits et ceux de nos filles », a-t-elle conclu, lors de son discours devant les femmes.