La liste des soldats morts pour la France au Mali s’allonge. Ce dimanche 23 janvier, l’Élysée a révélé qu’un militaire français a été tué dans une attaque au mortier du camp militaire de l’opération Barkhane à Gao. Alexandre Martin, brigadier du 54ème régiment d’artillerie de Hyères, a perdu la vie dans l’après-midi de samedi.
Emmanuel Macron “salue avec respect la mémoire de ce soldat, mort pour la France dans l’accomplissement de sa mission” et “s’associe à la douleur de sa famille, de ses proches et de ses frères d’armes”. Dans la foulée, le ministère des Armées a donné plus de détails, précisant que neufs autres militaires avaient été blessés par ces “tirs indirects” survenus vers 17 heures.
“Une patrouille d’hélicoptères d’attaque a été engagée pour intercepter et neutraliser les terroristes à l’origine des tirs”, explique encore le ministère, alors que le chef d’état-major des armées, Thierry Burkhard, a exprimé sa “profonde tristesse” sur Twitter.
Ce décès porte à 53 le nombre de soldats français tués au Sahel depuis 2013 dans les opérations antijihadistes Serval puis Barkhane. Une mort qui survient alors que quatre militaires français avaient été blessés au Burkina Faso lors de l’explosion d’un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule.
Emmanuel Macron “salue avec respect la mémoire de ce soldat, mort pour la France dans l’accomplissement de sa mission” et “s’associe à la douleur de sa famille, de ses proches et de ses frères d’armes”. Dans la foulée, le ministère des Armées a donné plus de détails, précisant que neufs autres militaires avaient été blessés par ces “tirs indirects” survenus vers 17 heures.
“Une patrouille d’hélicoptères d’attaque a été engagée pour intercepter et neutraliser les terroristes à l’origine des tirs”, explique encore le ministère, alors que le chef d’état-major des armées, Thierry Burkhard, a exprimé sa “profonde tristesse” sur Twitter.
Ce décès porte à 53 le nombre de soldats français tués au Sahel depuis 2013 dans les opérations antijihadistes Serval puis Barkhane. Une mort qui survient alors que quatre militaires français avaient été blessés au Burkina Faso lors de l’explosion d’un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule.