La réunion de relance du comité de suivi de l’accord d’Alger (CSA) a notamment abordé la question du redéploiement de l’armée malienne dans le nord, et plus particulièrement à Kidal, localité toujours sous contrôle des ex-rebelles. « Pour la première fois, une vraie discussion a eu lieu pour voir comment ce redéploiement pouvait se faire, en espérant que le plus rapidement possible ce bataillon puisse réellement se déployer à Kidal », a déclaré Mahamat Saleh Annadif, représentant spécial de l’ONU au Mali dont l’institution a été sollicitée pour faciliter ce retour. Outre le secrétaire d'État algérien aux Affaires étrangères, la quasi-totalité des ministres des Affaires étrangères des pays membres du G5 Sahel étaient présents ainsi que l'envoyé spécial de la France au Sahel, Christophe Bigot.
Quelques centaines de militaires issus des Forces armées maliennes et des groupes armés impliqués dans le processus de paix sont déjà présents à Gao pour rallier Kidal. Cette semaine, des détails techniques devaient être révolus.
Développement des zones désertiques
Mais au cours de la réunion du CSA, on a également parlé de développement des zones désertiques du Nord. « Une loi a créé la zone de développement du Nord, a rappelé Mahamat Saleh Annadif. Là, nous sommes contents d’apprendre de la part du gouvernement que ce fonds est déjà alimenté. J’ai écouté la France, elle a fait une annonce de pratiquement 2 millions d’euros pour dire qu’elle va continuer. »
À la fin des travaux, le président malien Ibrahim Boubacar Keïta a reçu tous les participants.
Quelques centaines de militaires issus des Forces armées maliennes et des groupes armés impliqués dans le processus de paix sont déjà présents à Gao pour rallier Kidal. Cette semaine, des détails techniques devaient être révolus.
Développement des zones désertiques
Mais au cours de la réunion du CSA, on a également parlé de développement des zones désertiques du Nord. « Une loi a créé la zone de développement du Nord, a rappelé Mahamat Saleh Annadif. Là, nous sommes contents d’apprendre de la part du gouvernement que ce fonds est déjà alimenté. J’ai écouté la France, elle a fait une annonce de pratiquement 2 millions d’euros pour dire qu’elle va continuer. »
À la fin des travaux, le président malien Ibrahim Boubacar Keïta a reçu tous les participants.