La rencontre s’est déroulée au ministère malien de la Défense. Les représentants des partis de la majorité proche du président IBK étaient plus détendues à leur sortie qu’à leur arrivée. « Çà s'est bien passé !, commente Djibril Tall, président du PDES, parti de la majorité, qui ne craint pas une prise de pouvoir durable des militaires : « Non, non, vous savez, le peuple malien a toujours su s'assumer au moment opportun. »
Mais lors de la rencontre, en rentrant dans le vif du sujet, les partis de la majorité ont dénoncé le coup d’État. « Les gens condamnent le coup d'État. ils veulent que le président de la République soit libéré, au moins qu'il soit accessible, qu'on puisse aller le voir », rapporte Djiguiba Kéita dit PPR, du Parti pour la Renaissance nationale (Parena).
Les portes du dialogue avec la junte ne sont pas pour autant fermées, il faut aller de l’avant, explique Blaise Sangaré, autre figure de la mouvance présidentielle : « Il y a une crise dans la crise, il y avait déjà une très grande crise socio-politique, à cela se greffe une crise politique. Il faut pouvoir trouver ensemble des solutions de sortie heureuse. »
La junte rencontrera bientôt d’autres interlocuteurs locaux ainsi que l’opposition.
Mais lors de la rencontre, en rentrant dans le vif du sujet, les partis de la majorité ont dénoncé le coup d’État. « Les gens condamnent le coup d'État. ils veulent que le président de la République soit libéré, au moins qu'il soit accessible, qu'on puisse aller le voir », rapporte Djiguiba Kéita dit PPR, du Parti pour la Renaissance nationale (Parena).
Les portes du dialogue avec la junte ne sont pas pour autant fermées, il faut aller de l’avant, explique Blaise Sangaré, autre figure de la mouvance présidentielle : « Il y a une crise dans la crise, il y avait déjà une très grande crise socio-politique, à cela se greffe une crise politique. Il faut pouvoir trouver ensemble des solutions de sortie heureuse. »
La junte rencontrera bientôt d’autres interlocuteurs locaux ainsi que l’opposition.