Selon le ministère de la Santé et de l’Action sociale, entre 2010 et 2022, les centres de dialyse sont passés de 2 à 23 dans le public. En 2013, la gratuité totale de la dialyse est entrée en vigueur, faisant passer le budget alloué à l’achat des kits de 1 à 5 milliards FCfa.
A cela s’ajoute la signature des conventions entre l’Etat et certains centres de dialyse privés pour renforcer l’offre de soins, l’adoption de la loi sur la transplantation et le don d’organes et la création du Conseil national du don et de la transplantation.
Mais ce n’est pas tout, le ministère dirigé par Abdoulaye Diouf Sarr a procédé en 2022, au recrutement de 30 prestataires pour la formation au master en suppléance rénale à la Faculté de Médecine de Dakar.
«Malgré tous ces progrès, il reste encore beaucoup de défis à relever comme : le renforcement des ressources en faveur de la lutte contre la maladie rénale chronique ; l’effectivité de la transplantation rénale ; l’apurement de la liste d’attente ; le renforcement de la prévention primaire », informe le ministère.
Il rappelle que «dans le monde, un adulte sur dix est atteint d’insuffisance rénale chronique. Le taux de mortalité lié aux maladies rénales continue d’augmenter chaque année et elles devraient devenir la cinquième cause de décès d’ici 2040».
A cela s’ajoute la signature des conventions entre l’Etat et certains centres de dialyse privés pour renforcer l’offre de soins, l’adoption de la loi sur la transplantation et le don d’organes et la création du Conseil national du don et de la transplantation.
Mais ce n’est pas tout, le ministère dirigé par Abdoulaye Diouf Sarr a procédé en 2022, au recrutement de 30 prestataires pour la formation au master en suppléance rénale à la Faculté de Médecine de Dakar.
«Malgré tous ces progrès, il reste encore beaucoup de défis à relever comme : le renforcement des ressources en faveur de la lutte contre la maladie rénale chronique ; l’effectivité de la transplantation rénale ; l’apurement de la liste d’attente ; le renforcement de la prévention primaire », informe le ministère.
Il rappelle que «dans le monde, un adulte sur dix est atteint d’insuffisance rénale chronique. Le taux de mortalité lié aux maladies rénales continue d’augmenter chaque année et elles devraient devenir la cinquième cause de décès d’ici 2040».