A la suite du tollé suscité par le trafic présumé de drogue auquel se livreraient des gradés de la police, le député Moustapha Diakhaté, président du groupe parlementaire Benno Bokk Yaakaar a fait une sortie médiatique pour faire part de son intention de poser une question orale à l’Assemblée nationale.
Seulement, pour son collègue, Me El Hadji Diouf, ce n’est pas une question orale qui va résoudre cette affaire. « Vous savez, Moustapha Diakhaté est un activiste qui saute sur toutes les occasions pour se faire voir », explique Me El Hadji Diouf qui suggère : « Il faut non seulement que la justice s’empare du dossier, mais il faut une commission d’enquête internationale et non parlementaire. Les parlementaires ne sont pas outillés pour faire ce travail ».
Et de poursuivre dans les colonnes d'Enquete parcouru par Setal.net : « Cela nécessite qu’Interpol intervienne, que l’on mette à contribution le Fbi, la Cia, les services secrets israéliens, pour voir si le Sénégal, qui est considéré comme un Etat sérieux, est une plaque tournante de la drogue ou pas ».
Seulement, pour son collègue, Me El Hadji Diouf, ce n’est pas une question orale qui va résoudre cette affaire. « Vous savez, Moustapha Diakhaté est un activiste qui saute sur toutes les occasions pour se faire voir », explique Me El Hadji Diouf qui suggère : « Il faut non seulement que la justice s’empare du dossier, mais il faut une commission d’enquête internationale et non parlementaire. Les parlementaires ne sont pas outillés pour faire ce travail ».
Et de poursuivre dans les colonnes d'Enquete parcouru par Setal.net : « Cela nécessite qu’Interpol intervienne, que l’on mette à contribution le Fbi, la Cia, les services secrets israéliens, pour voir si le Sénégal, qui est considéré comme un Etat sérieux, est une plaque tournante de la drogue ou pas ».