La coordonnatrice de la Maison de Justice de Tivaouane, Aminata Seck Guèye s’est dite très satisfaite du «taux de fréquentation assez important» et du «traitement des litiges», malgré quelques difficultés rencontrées dans l’exercice du métier de conciliateur.
«Le gros du lot des dossiers traités concerne l’information pour obtenir les actes administratifs, les mariages et les créances. Et notre stratégie depuis le début, c’est d’essayer de contourner les difficultés. Et donc, de trouver des solutions», note Mme Guèye.
D’après "Le Quotidien", créée en 2009 pour assurer une présence judiciaire de proximité, la Maison de Justice de Tivaouane a aussi, pour objectif, de rapprocher la Justice du justiciable et de désengorger les juridictions.
«Le gros du lot des dossiers traités concerne l’information pour obtenir les actes administratifs, les mariages et les créances. Et notre stratégie depuis le début, c’est d’essayer de contourner les difficultés. Et donc, de trouver des solutions», note Mme Guèye.
D’après "Le Quotidien", créée en 2009 pour assurer une présence judiciaire de proximité, la Maison de Justice de Tivaouane a aussi, pour objectif, de rapprocher la Justice du justiciable et de désengorger les juridictions.