A la question de savoir, avec la crise malienne qui déborde et le Niger qui est touché, s'il redoute que le Sénégal soit une cible, le chef de l'Etat rétorque : "La crise au Sahel n'est pas fini et aucun pays n'est à l'abri. Il y a eu des événement en France, à Londres. A partir du moment où l'ennemi est une bombe ambulante qui est prêt à mourir, personne ne peut se cacher. Le Sénégal peut être touché mais il n'est pas non plus particulièrement exposé". Quid des rapports qui ont fait état de la présence de Sénégalais dans les rangs du Mujao ? "C'est une chose tout à fait possible. On trouve aujourd'hui dans l'international djihadiste toutes les nationalités. Il n'est pas étonnant que des Sénégalais soient là-dedans. Cela ne m'inquiète pas outre mesure", a dit Macky Sall.
Pour ce qui est de la traque des biens supposés mal acquis et les accusations d'instrumentalisation de la justice pour un règlement de comptes politique, le Président Sall botte en touche. "C'est ridicule. Le Pds, l'ancien parti au pouvoir m'accuse. Mais je n'ai pas de comptes à régler. Je suis président de la République, bien élu, le mieux élu du continent, et je ne suis pas contesté. Si ces gens ont des protestations, ils n'ont qu'à les soumettre à la justice. Ce n'est ni personnel ni politique", a-t-il dit.
Pour ce qui est de la traque des biens supposés mal acquis et les accusations d'instrumentalisation de la justice pour un règlement de comptes politique, le Président Sall botte en touche. "C'est ridicule. Le Pds, l'ancien parti au pouvoir m'accuse. Mais je n'ai pas de comptes à régler. Je suis président de la République, bien élu, le mieux élu du continent, et je ne suis pas contesté. Si ces gens ont des protestations, ils n'ont qu'à les soumettre à la justice. Ce n'est ni personnel ni politique", a-t-il dit.