S'il doit y'avoir année blanche, il y aura année blanche. J'espère qu'il n'y aura pas année blanche..." , a-t-il dit avant d'exhorter les enseignants à faire preuve de patriotisme : "1% de la population ne saurait s'approprier la majorité du budget gouvernemental". Il a aussi appelé au dialogue: « Il faut qu’on dialogue dans le sens de la responsabilité et des possibilités du pays. La situation est très grave. Tous les acteurs sont interpellés. L’Etat a des limites objectives, notamment de moyens et de ressources. Les enseignants sont invités à travailler avec le gouvernement sur les conditions de levée des mots d’ordre de grèves et d’étudier, avec nous, les conditions de donner la chance à tous les enfants de ce pays ».
Selon Macky Sall, le corps enseignant devrait se montrer plus soucieux des parents d'élèves qui n'ont pas de gros moyens financiers. « Nous devons naviguer dans des équilibres très précaires. Je suis plus que disponible pour aider à sauver l’année. Ce qui doit être impérative pour tout le monde, mais en tenant compte des équilibres de l’Etat. Il faut que nous soyons conscients des limites de notre pays », a-t-il relevé dans son speech. Il n’a pas manqué non plus manquer de relever le retard de la tenue du Conseil présidentiel sur les Assises nationales de l’éducation et de la formation (Anef) en mentionnant que « la période entre la fin des Assises et la tenue du Conseil présidentiel est consacrée aux évaluations. On ne peut prendre des mesures en Conseil présidentiel sans qu’elles soient l’objet d’une évaluation. Il faut mettre la soutenabilité dans l’échéancier des opérations ».
Selon Macky Sall, le corps enseignant devrait se montrer plus soucieux des parents d'élèves qui n'ont pas de gros moyens financiers. « Nous devons naviguer dans des équilibres très précaires. Je suis plus que disponible pour aider à sauver l’année. Ce qui doit être impérative pour tout le monde, mais en tenant compte des équilibres de l’Etat. Il faut que nous soyons conscients des limites de notre pays », a-t-il relevé dans son speech. Il n’a pas manqué non plus manquer de relever le retard de la tenue du Conseil présidentiel sur les Assises nationales de l’éducation et de la formation (Anef) en mentionnant que « la période entre la fin des Assises et la tenue du Conseil présidentiel est consacrée aux évaluations. On ne peut prendre des mesures en Conseil présidentiel sans qu’elles soient l’objet d’une évaluation. Il faut mettre la soutenabilité dans l’échéancier des opérations ».