Sur cette question d’actualité intemporelle et existentielle, Macky Sall a rappelé que le facteur travail était partie intégrante des autres déterminants de l’économie et gardait toute sa place dans la recherche et la formulation des politiques publiques.
Autour du thème du travail, le chef de l'Etat a abordé également les questions du manque de travail, du chômage, en particulier celui des jeunes, lequel interpelle au premier chef les pouvoirs publics, dans la définition des politiques propices à une croissance inclusive, c'est-à -dire une croissance partagée, qui crée de l’emploi, et donc du travail.
Le Président Macky Sall, au cours de son adresse, a invité à maintenir ouvert ce débat aux plans local comme international, à écouter tous les points de vue, y compris ceux portant sur des questions difficiles, voire controversées, comme la gouvernance financière mondiale, les paradis fiscaux et les flux financiers illicites, la juste rémunération des ressources naturelles, celles minières en particulier, et enfin la migration, qui, pour rappel, fera l’objet d’une Conférence Europe-Afrique en novembre.
Le Président avait déjà abordé ces questions au dernier Sommet du G.7, étant convaincu qu’elles nécessitent des réponses concertées, justes et équitables, pour réduire les inégalités persistantes dans les échanges Nord-Sud. « Il nous faut corriger ces déséquilibres pour donner matière à travailler au Sud. C’est la meilleure façon d’aider à la lutte contre la pauvreté, le chômage, l’émigration clandestine et l’exclusion sociale qui alimente la frustration et le radicalisme », a précisé Macky Sall.
C’est, d’ailleurs, pour répondre à ce défi qu’en février 2014, a été lancé le Plan Sénégal Emergent (PSE), comme nouvelle stratégie de développement économique et social, visant un renouveau productif du Sénégal, avec un taux de croissance annuel d’au moins 7%, pour atteindre l’émergence à l’horizon 2035.
En définitive, pour conclure, le Président Macky Sall a réaffirmé que « quelles que soient les stratégies, c’est toujours le travail qui fera la différence, parce que le travail, c’est la richesse des Nations, c’est ce qui nous relie à l’économie réelle et à l’essence même de la vie ».
Autour du thème du travail, le chef de l'Etat a abordé également les questions du manque de travail, du chômage, en particulier celui des jeunes, lequel interpelle au premier chef les pouvoirs publics, dans la définition des politiques propices à une croissance inclusive, c'est-à -dire une croissance partagée, qui crée de l’emploi, et donc du travail.
Le Président Macky Sall, au cours de son adresse, a invité à maintenir ouvert ce débat aux plans local comme international, à écouter tous les points de vue, y compris ceux portant sur des questions difficiles, voire controversées, comme la gouvernance financière mondiale, les paradis fiscaux et les flux financiers illicites, la juste rémunération des ressources naturelles, celles minières en particulier, et enfin la migration, qui, pour rappel, fera l’objet d’une Conférence Europe-Afrique en novembre.
Le Président avait déjà abordé ces questions au dernier Sommet du G.7, étant convaincu qu’elles nécessitent des réponses concertées, justes et équitables, pour réduire les inégalités persistantes dans les échanges Nord-Sud. « Il nous faut corriger ces déséquilibres pour donner matière à travailler au Sud. C’est la meilleure façon d’aider à la lutte contre la pauvreté, le chômage, l’émigration clandestine et l’exclusion sociale qui alimente la frustration et le radicalisme », a précisé Macky Sall.
C’est, d’ailleurs, pour répondre à ce défi qu’en février 2014, a été lancé le Plan Sénégal Emergent (PSE), comme nouvelle stratégie de développement économique et social, visant un renouveau productif du Sénégal, avec un taux de croissance annuel d’au moins 7%, pour atteindre l’émergence à l’horizon 2035.
En définitive, pour conclure, le Président Macky Sall a réaffirmé que « quelles que soient les stratégies, c’est toujours le travail qui fera la différence, parce que le travail, c’est la richesse des Nations, c’est ce qui nous relie à l’économie réelle et à l’essence même de la vie ».