Pour le Conseiller Spécial à la Présidence de la République, « quand il y a défaite, c'est le chef qui doit prendre sur lui l'entière responsabilité. Donc, c'est Amadou Bâ, en tant que capitaine de la grande coalition, qui doit répondre de la débâcle subie dimanche dernier, face à un petit poucet qui conduit désormais les destinées de ce pays.
Cependant, ces oiseaux errants qui accusent honteusement et maladroitement le Président Macky Sall de deal avec l'opposition, doivent savoir raison garder. Ils ont, là , l'occasion de bien se taire et de se terrer à jamais, dès lors qu'ils ne peuvent comprendre les efforts inlassables que le Président Macky Sall a toujours déployés, pour le Sénégal et pour Benno Bokk Yakaar ».
De grâce, ajoute le président du Collectif des Fidèles de Macky Sall, « qu’ils ne permettent pas aux autres de rire sous cape, leur petitesse. Car, le mot Ouolof « nianky » n'est pas l'apanage d'un noble, donc, il faut savoir perdre dans la dignité. Il est temps qu'ils arrêtent, car cette vilaine posture désavantage Amadou Bâ, pour qu’il joue pleinement son rôle de chef de l’opposition ».
À en croire Abdou Hakim Dieng, « le Président Macky Sall a fait tout ce qu'il fallait pour qu’Amadou Bâ joue les premiers rôles dans cette élection. Il l'a choisi sur un groupe de candidats, lui a livré le parti avec des moyens conséquents, sans oublier son soutien indéfectible et ses prières.
Si aujourd'hui, certains esprits retors se permettent de lui manquer de respect en le désavouant publiquement, on doit nécessairement évoquer un « niakk jom » de leur part et un manque de reconnaissance inacceptable. En réalité, c'est à Amadou Bâ de porter l'entière responsabilité de cette déculottée électorale.
D'ailleurs, on attend qu'il retrousse les manches pour entamer le travail de rigueur, qui sied, afin de pouvoir assumer pleinement la mission de chef de l'opposition. Par la même occasion, le conseiller spécial rend un hommage appuyé à SEM Macky Sall, président de la République.
Grâce à son leadership et à sa connaissance de l’État, il a su éviter le chaos à notre pays. En homme d’État achevé, le Président Macky Sall a organisé des élections libres et transparentes, préservant ainsi nos acquis démocratiques ».
Cependant, ces oiseaux errants qui accusent honteusement et maladroitement le Président Macky Sall de deal avec l'opposition, doivent savoir raison garder. Ils ont, là , l'occasion de bien se taire et de se terrer à jamais, dès lors qu'ils ne peuvent comprendre les efforts inlassables que le Président Macky Sall a toujours déployés, pour le Sénégal et pour Benno Bokk Yakaar ».
De grâce, ajoute le président du Collectif des Fidèles de Macky Sall, « qu’ils ne permettent pas aux autres de rire sous cape, leur petitesse. Car, le mot Ouolof « nianky » n'est pas l'apanage d'un noble, donc, il faut savoir perdre dans la dignité. Il est temps qu'ils arrêtent, car cette vilaine posture désavantage Amadou Bâ, pour qu’il joue pleinement son rôle de chef de l’opposition ».
À en croire Abdou Hakim Dieng, « le Président Macky Sall a fait tout ce qu'il fallait pour qu’Amadou Bâ joue les premiers rôles dans cette élection. Il l'a choisi sur un groupe de candidats, lui a livré le parti avec des moyens conséquents, sans oublier son soutien indéfectible et ses prières.
Si aujourd'hui, certains esprits retors se permettent de lui manquer de respect en le désavouant publiquement, on doit nécessairement évoquer un « niakk jom » de leur part et un manque de reconnaissance inacceptable. En réalité, c'est à Amadou Bâ de porter l'entière responsabilité de cette déculottée électorale.
D'ailleurs, on attend qu'il retrousse les manches pour entamer le travail de rigueur, qui sied, afin de pouvoir assumer pleinement la mission de chef de l'opposition. Par la même occasion, le conseiller spécial rend un hommage appuyé à SEM Macky Sall, président de la République.
Grâce à son leadership et à sa connaissance de l’État, il a su éviter le chaos à notre pays. En homme d’État achevé, le Président Macky Sall a organisé des élections libres et transparentes, préservant ainsi nos acquis démocratiques ».