«Le Frapp vient d'être informé du début de la grève de la faim de 150 prisonniers de la prison de Ziguinchor. Ils dénoncent : les longues détentions préventives, le coût de l'unité du téléphone qui est à 50 F Cfa, la très mauvaise qualité de la nourriture», peut-on lire dans le communiqué du Secrétariat exécutif national (Sen) dudit mouvement citoyen. La même source de nous apprendre que les «détenus ont décidé de boycotter les appels téléphoniques et les visites».
Poursuivant, le Frapp renseigne dans son document que «dans cette prison de Ziguinchor sont également incarcérés, dans le cadre des manifestations politiques, 05 mineurs. Il s'agit notamment de Joséf vieux mendi (17ans), Samchidine Mbaye (16ans), Amadou Cissé (15 ans), Aliou Mané (17ans), Alain Bassem (16ans)».
Suffisant pour afficher son inquiétude: «Le Frapp est plus que jamais inquiet de la situation des prisonniers au Sénégal, et exprime un grand souci pour les 08 prisonnières politiques de la prison de camp pénal liberté liberté 6 qui en sont aussi à leur huitième jour de grève de la faim».
«Le Frapp demande l'État du Sénégal de mettre un terme au supplice infligé aux filles et aux fils du Sénégal dans les 37 prisons. Une lettre de protestation va être déposée auprès de l'administration pénitentiaire pour dénoncer les conditions inhumaines et dégradantes de détention des prisonniers au Sénégal», informe le communiqué du Frapp, relayé par LGP
Poursuivant, le Frapp renseigne dans son document que «dans cette prison de Ziguinchor sont également incarcérés, dans le cadre des manifestations politiques, 05 mineurs. Il s'agit notamment de Joséf vieux mendi (17ans), Samchidine Mbaye (16ans), Amadou Cissé (15 ans), Aliou Mané (17ans), Alain Bassem (16ans)».
Suffisant pour afficher son inquiétude: «Le Frapp est plus que jamais inquiet de la situation des prisonniers au Sénégal, et exprime un grand souci pour les 08 prisonnières politiques de la prison de camp pénal liberté liberté 6 qui en sont aussi à leur huitième jour de grève de la faim».
«Le Frapp demande l'État du Sénégal de mettre un terme au supplice infligé aux filles et aux fils du Sénégal dans les 37 prisons. Une lettre de protestation va être déposée auprès de l'administration pénitentiaire pour dénoncer les conditions inhumaines et dégradantes de détention des prisonniers au Sénégal», informe le communiqué du Frapp, relayé par LGP