Ce, avec la finalisation intégrale de la phase d’urgence du Progep 2, de Mbao et de Touba, avec le déploiement du plan spécial de drainage des eaux pluviales d’un coût de 23 milliards Cfa).
Ce qui a fait réagir Babacar Mbaye «Ngaraf». Selon lui, la solution était de restructurer et aménager les zones inondées. Mais aussi, ajoute-t-il, construire de nouveaux logements bien assainis.
«Par rapport au plan décennal contre les inondations, nous estimons qu’un bilan exhaustif est impératif à la fois politique, économique et social. Force est de reconnaître que les résultats par ce plan sont largement en deçà des attentes des Sénégalais mais aussi totalement en déphasage avec les sommes dites dépensées »
« L’essentiel de cette somme devrait permettre la construction de nouveaux logements pour déguerpir les populations habitants dans ces zones et les recaser à Jaxaay, Takhfekh Yakaar. Aujourd’hui, 386 familles déguerpies depuis 2005 continuent d’attendre d’être recasées.
Cette situation est inacceptable. Par rapport aux solutions préconisées, nous pensons que la première est de ramener le ministère chargé de la restructuration et de l’aménagement des eaux inondées. La seconde est de démocratiser l’accès au foncier», a-t-il dit.
Tribune
Ce qui a fait réagir Babacar Mbaye «Ngaraf». Selon lui, la solution était de restructurer et aménager les zones inondées. Mais aussi, ajoute-t-il, construire de nouveaux logements bien assainis.
«Par rapport au plan décennal contre les inondations, nous estimons qu’un bilan exhaustif est impératif à la fois politique, économique et social. Force est de reconnaître que les résultats par ce plan sont largement en deçà des attentes des Sénégalais mais aussi totalement en déphasage avec les sommes dites dépensées »
« L’essentiel de cette somme devrait permettre la construction de nouveaux logements pour déguerpir les populations habitants dans ces zones et les recaser à Jaxaay, Takhfekh Yakaar. Aujourd’hui, 386 familles déguerpies depuis 2005 continuent d’attendre d’être recasées.
Cette situation est inacceptable. Par rapport aux solutions préconisées, nous pensons que la première est de ramener le ministère chargé de la restructuration et de l’aménagement des eaux inondées. La seconde est de démocratiser l’accès au foncier», a-t-il dit.
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