Selon le ministre des Postes et des télécommunications, cette rencontre vise à «offrir aux Etats et aux différents experts, une plateforme, pour échanger sur les expériences réussies et les bonnes pratiques en matière de cyber sécurité », a fait savoir M. Yaya Abdoul Kane qui trouve qu’après cette réflexion, ils vont pouvoir « avoir des éléments sur lesquels nous allons nous baser pour affiner notre stratégie nationale sur la cyber sécurité», précise-t-il.
L’Ambassadeur des Pays Bas au Sénégal, Théo Peters, dira, dans la même lancée que : « nous attachons beaucoup d’importance à ce problème parce que nous nous rendons compte que nous sommes très dépendants d’internet, et c’est seulement, en collaboration internationale que l’on peut faire face à ce problème ».
Conscient que « les technologies de l’information et de la communication ont une double facette, une facette positive bénéfique et une facette négative maléfique », Me Abdoulaye Cissé, avocat au barreau du Sénégal, soutiendra que pour bien les utiliser, « il faut savoir gérer les risques numériques pour pouvoir lutter contre les cybers attaques, les cybers terrorismes, les cybers menaces, entre autres, et d’un autre côté, développer une stratégie pour en tirer un profit optimal ».
Même s’il reconnait que les pays membres de l’Uemoa font des progrès en matière de protection des données, de la cybercriminalité et des transactions économiques, il soutiendra que cela ne suffit pas puisqu’il y’a beaucoup d’autres actions à l’échelle nationale à accomplir dont « une politique sectorielle sur le numérique, la mise en place de commissions qui puissent réagir en cas d’urgence lorsqu’il y’a des attaques, mais aussi tout le cadre légal de protection qui doit être mis à jour, et la mise en place d’une connexion haut dédit partout même dans les zones les plus reculées… ».
Et pour ce qui est de « l’état » de la coopération, il indiquera qu’elle est « timide » du fait de la convention de Malabo qui n’est pas encore en vigueur. Ce qui entraine le fait que « les Etats ne puissent pas asseoir une véritable coopération judiciaire, policière en matière de cyber sécurité », « la sécurité n’est jamais totale, mais on est en voie pour essayer de l’obtenir », dit-il confiant.
L’Ambassadeur des Pays Bas au Sénégal, Théo Peters, dira, dans la même lancée que : « nous attachons beaucoup d’importance à ce problème parce que nous nous rendons compte que nous sommes très dépendants d’internet, et c’est seulement, en collaboration internationale que l’on peut faire face à ce problème ».
Conscient que « les technologies de l’information et de la communication ont une double facette, une facette positive bénéfique et une facette négative maléfique », Me Abdoulaye Cissé, avocat au barreau du Sénégal, soutiendra que pour bien les utiliser, « il faut savoir gérer les risques numériques pour pouvoir lutter contre les cybers attaques, les cybers terrorismes, les cybers menaces, entre autres, et d’un autre côté, développer une stratégie pour en tirer un profit optimal ».
Même s’il reconnait que les pays membres de l’Uemoa font des progrès en matière de protection des données, de la cybercriminalité et des transactions économiques, il soutiendra que cela ne suffit pas puisqu’il y’a beaucoup d’autres actions à l’échelle nationale à accomplir dont « une politique sectorielle sur le numérique, la mise en place de commissions qui puissent réagir en cas d’urgence lorsqu’il y’a des attaques, mais aussi tout le cadre légal de protection qui doit être mis à jour, et la mise en place d’une connexion haut dédit partout même dans les zones les plus reculées… ».
Et pour ce qui est de « l’état » de la coopération, il indiquera qu’elle est « timide » du fait de la convention de Malabo qui n’est pas encore en vigueur. Ce qui entraine le fait que « les Etats ne puissent pas asseoir une véritable coopération judiciaire, policière en matière de cyber sécurité », « la sécurité n’est jamais totale, mais on est en voie pour essayer de l’obtenir », dit-il confiant.
leral