Dans le cadre de la lutte contre le trafic de drogue, la section opérationnelle de la Direction de l’Office central pour la répression du trafic Illicite des stupéfiants (Doctris), a procédé à l’interpellation d’une bande de 4 dealers dirigée par un certain « Ndiossé».
Selon "L'As", les mis en cause qui opéraient entre Dakar et sa banlieue, ont été déférés au parquet pour association de malfaiteurs, détention et trafic de drogue dure dont l’héroïne. Ibr. Mandiang dit «Ndiossé», âgé de 45 ans, commerçant habitant à Golf Sud ainsi que ses acolytes M. L. Keita dit «Diarra» 41 ans, menuisier métallique domicilié à la Médina, S. Diagne dit «Jules», 46 ans, menuisier ébéniste habitant à Golf Sud, et El. H. Mb. Diouf électricien bobineur (âgé de 51 ans) habitant à la Médina, croupissent actuellement en prison pour association de malfaiteurs, détention et trafic de drogue dure dont l’héroïne.
Selon des sources du journal, tout serait parti d’une information anonyme reçue par les limiers faisant étant d’un vaste trafic de drogue à la Médina, au Point E et à Golf Sud. Le cerveau de cette bande est un certain Ndiossé, très connu dans le milieu interlope. Il a établi son quartier général à la Médina.
Munis de toutes les informations, les limiers mettent en place un dispositif de surveillance et de filature dans le souci d’appréhender les malfrats. Ce qui a porté ses fruits, puisque les hommes du Commissaire Ndiarre Sène se sont rendus compte que les malfrats avaient installé un dispositif logistique dans le but d’écouler de la drogue dure.
En effet, le cerveau Ndiossé, par l’intermédiaire de ses fournisseurs, était chargé de transformer la drogue. Ensuite, «Jules» est chargé de la distribution de la drogue avec comme poulain Diarra, de son vrai nom M. L. Keita, qui a son quartier général à la Médina. Ayant son réseau à son tour, il quitte chaque jour son domicile pour écouler la drogue dure auprès de beaucoup de clients au niveau de la boîte de nuit « Le Thiossane ».
Et là, M. L. Keita a à son actif beaucoup de jeunes qu’il entretient grâce à ses activités illicites et qui l’alertent à la moindre descente des limiers. Mais dans la journée du 30 octobre, «Diarra» qui était pris en filature, est appréhendé par les limiers alors qu’il était en possession de 23 pierres de crack dissimulés dans ses poches, de 2 téléphones et d’un portefeuille contenant la somme de 24.000 FCfa.
Les limiers continuent leurs investigations et mettent la main sur Jules et le cerveau de la bande, «Ndiossé», avant de saisir par devers eux, 53 pierres de crack bien emballées dans des mouchoirs blancs, 90 képas d’héroïne, 7 sachets contenant une poudre de couleur blanchâtre d’un poids de 17,5 grammes, mais aussi un important lot de conditionnement du produit illicite, composé de rouleaux de papier bronzé, d’une bouteille de gaz butane, d’un tamis, de 5 assiettes en céramique utilisées pour sécher le produit, d’un lot de sachets plastiques, du papier filtré, de 3 cuillères, de paires de ciseaux, de 5 couteaux, de 2 bougies, d’un rouleau de scotch, de 3 lames ainsi que 2 téléphones portables de marque simple.
Conduits dans les locaux de la Docrtis, les 4 quidams que sont I. Mandiang dit « Ndiossé », M. L. Keita alias « Diarra », S. Diagne dit « Jules » et El. H. Mb. Diouf, ont été déférés au parquet pour association de malfaiteurs, détention et trafic de drogue dure portant sur 90 képas d’héroïne et 76 pierres de crack puis d'une poudre blanchâtre d’un poids de 17,5 grammes.
Selon "L'As", les mis en cause qui opéraient entre Dakar et sa banlieue, ont été déférés au parquet pour association de malfaiteurs, détention et trafic de drogue dure dont l’héroïne. Ibr. Mandiang dit «Ndiossé», âgé de 45 ans, commerçant habitant à Golf Sud ainsi que ses acolytes M. L. Keita dit «Diarra» 41 ans, menuisier métallique domicilié à la Médina, S. Diagne dit «Jules», 46 ans, menuisier ébéniste habitant à Golf Sud, et El. H. Mb. Diouf électricien bobineur (âgé de 51 ans) habitant à la Médina, croupissent actuellement en prison pour association de malfaiteurs, détention et trafic de drogue dure dont l’héroïne.
Selon des sources du journal, tout serait parti d’une information anonyme reçue par les limiers faisant étant d’un vaste trafic de drogue à la Médina, au Point E et à Golf Sud. Le cerveau de cette bande est un certain Ndiossé, très connu dans le milieu interlope. Il a établi son quartier général à la Médina.
Munis de toutes les informations, les limiers mettent en place un dispositif de surveillance et de filature dans le souci d’appréhender les malfrats. Ce qui a porté ses fruits, puisque les hommes du Commissaire Ndiarre Sène se sont rendus compte que les malfrats avaient installé un dispositif logistique dans le but d’écouler de la drogue dure.
En effet, le cerveau Ndiossé, par l’intermédiaire de ses fournisseurs, était chargé de transformer la drogue. Ensuite, «Jules» est chargé de la distribution de la drogue avec comme poulain Diarra, de son vrai nom M. L. Keita, qui a son quartier général à la Médina. Ayant son réseau à son tour, il quitte chaque jour son domicile pour écouler la drogue dure auprès de beaucoup de clients au niveau de la boîte de nuit « Le Thiossane ».
Et là, M. L. Keita a à son actif beaucoup de jeunes qu’il entretient grâce à ses activités illicites et qui l’alertent à la moindre descente des limiers. Mais dans la journée du 30 octobre, «Diarra» qui était pris en filature, est appréhendé par les limiers alors qu’il était en possession de 23 pierres de crack dissimulés dans ses poches, de 2 téléphones et d’un portefeuille contenant la somme de 24.000 FCfa.
Les limiers continuent leurs investigations et mettent la main sur Jules et le cerveau de la bande, «Ndiossé», avant de saisir par devers eux, 53 pierres de crack bien emballées dans des mouchoirs blancs, 90 képas d’héroïne, 7 sachets contenant une poudre de couleur blanchâtre d’un poids de 17,5 grammes, mais aussi un important lot de conditionnement du produit illicite, composé de rouleaux de papier bronzé, d’une bouteille de gaz butane, d’un tamis, de 5 assiettes en céramique utilisées pour sécher le produit, d’un lot de sachets plastiques, du papier filtré, de 3 cuillères, de paires de ciseaux, de 5 couteaux, de 2 bougies, d’un rouleau de scotch, de 3 lames ainsi que 2 téléphones portables de marque simple.
Conduits dans les locaux de la Docrtis, les 4 quidams que sont I. Mandiang dit « Ndiossé », M. L. Keita alias « Diarra », S. Diagne dit « Jules » et El. H. Mb. Diouf, ont été déférés au parquet pour association de malfaiteurs, détention et trafic de drogue dure portant sur 90 képas d’héroïne et 76 pierres de crack puis d'une poudre blanchâtre d’un poids de 17,5 grammes.