Cette coalition, placée sous la conduite de l'Arabie saoudite, sera dotée d'un centre de commandement basé à Ryad pour soutenir les opérations militaires dans la lutte contre le terrorisme, a ajouté l'agence Spa, mardi 14 décembre.
Sans surprise, l'Iran est exclu de la liste. En revanche, l'Afrique y est très représentée. Selon le communiqué de l'agence saoudienne, une vingtaine d'Etats africains ont rejoint la coalition : le Bénin, le Tchad, la Tunisie, le Togo, le Sénégal, Djibouti, le Soudan, la Sierra Leone, la Somalie, le Gabon, la Guinée, les Comores, la Côte d'Ivoire, la Libye, le Mali, l'Egypte, le Maroc, la Mauritanie, le Niger et le Nigeria.
Dix autres pays musulmans, dont l'Indonésie, soutiennent la nouvelle coalition et pourraient se joindre à elle ultérieurement, précise encore l'agence Spa.Démontrer « le souci du monde islamique à combattre le terrorisme »« Cette coalition témoigne du souci du monde islamique à combattre le terrorisme et à être un partenaire dans la lutte mondiale contre ce fléau », a déclaré devant la presse le futur prince héritier et ministre saoudien de la Défense, Mohamed Ben Salmane.
L'Arabie saoudite, déjà à l'initiative au Yémen, fait partie aussi de la coalition internationale qui, sous la conduite des Etats-Unis, combat le groupe jihadiste Etat islamique en Syrie et en Irak. Pour l'heure, aucune précision n'a été fournie sur les opérations que mènera la coalition.
Seul objectif affiché : « combattre toute organisation terroriste », a déclaré le prince Mohamed, fils du souverain saoudien.Cette coalition, placée sous la conduite de l'Arabie saoudite, sera dotée d'un centre de commandement basé à Ryad pour soutenir les opérations militaires dans la lutte contre le terrorisme, a ajouté l'agence Spa, mardi 14 décembre.
Sans surprise, l'Iran est exclu de la liste.En revanche, l'Afrique y est très représentée. Selon le communiqué de l'agence saoudienne, une vingtaine d'Etats africains ont rejoint la coalition : le Bénin, le Tchad, la Tunisie, le Togo, le Sénégal, Djibouti, le Soudan, la Sierra Leone, la Somalie, le Gabon, la Guinée, les Comores, la Côte d'Ivoire, la Libye, le Mali, l'Egypte, le Maroc, la Mauritanie, le Niger et le Nigeria.
Dix autres pays musulmans, dont l'Indonésie, soutiennent la nouvelle coalition et pourraient se joindre à elle ultérieurement, précise encore l'agence Spa.Démontrer « le souci du monde islamique à combattre le terrorisme »« Cette coalition témoigne du souci du monde islamique à combattre le terrorismeet à être un partenaire dans la lutte mondiale contre ce fléau », a déclaré devant la presse le futur prince héritier et ministre saoudien de la Défense, Mohamed Ben Salmane.
L'Arabie saoudite, déjà à l'initiative au Yémen, fait partie aussi de la coalition internationale qui, sous la conduite des Etats-Unis, combat le groupe jihadiste Etat islamique en Syrie et en Irak. Pour l'heure, aucune précision n'a été fournie sur les opérations que mènera la coalition.
Seul objectif affiché : « combattre toute organisation terroriste », a déclaré le prince Mohamed, fils du souverain saoudien.
Sans surprise, l'Iran est exclu de la liste. En revanche, l'Afrique y est très représentée. Selon le communiqué de l'agence saoudienne, une vingtaine d'Etats africains ont rejoint la coalition : le Bénin, le Tchad, la Tunisie, le Togo, le Sénégal, Djibouti, le Soudan, la Sierra Leone, la Somalie, le Gabon, la Guinée, les Comores, la Côte d'Ivoire, la Libye, le Mali, l'Egypte, le Maroc, la Mauritanie, le Niger et le Nigeria.
Dix autres pays musulmans, dont l'Indonésie, soutiennent la nouvelle coalition et pourraient se joindre à elle ultérieurement, précise encore l'agence Spa.Démontrer « le souci du monde islamique à combattre le terrorisme »« Cette coalition témoigne du souci du monde islamique à combattre le terrorisme et à être un partenaire dans la lutte mondiale contre ce fléau », a déclaré devant la presse le futur prince héritier et ministre saoudien de la Défense, Mohamed Ben Salmane.
L'Arabie saoudite, déjà à l'initiative au Yémen, fait partie aussi de la coalition internationale qui, sous la conduite des Etats-Unis, combat le groupe jihadiste Etat islamique en Syrie et en Irak. Pour l'heure, aucune précision n'a été fournie sur les opérations que mènera la coalition.
Seul objectif affiché : « combattre toute organisation terroriste », a déclaré le prince Mohamed, fils du souverain saoudien.Cette coalition, placée sous la conduite de l'Arabie saoudite, sera dotée d'un centre de commandement basé à Ryad pour soutenir les opérations militaires dans la lutte contre le terrorisme, a ajouté l'agence Spa, mardi 14 décembre.
Sans surprise, l'Iran est exclu de la liste.En revanche, l'Afrique y est très représentée. Selon le communiqué de l'agence saoudienne, une vingtaine d'Etats africains ont rejoint la coalition : le Bénin, le Tchad, la Tunisie, le Togo, le Sénégal, Djibouti, le Soudan, la Sierra Leone, la Somalie, le Gabon, la Guinée, les Comores, la Côte d'Ivoire, la Libye, le Mali, l'Egypte, le Maroc, la Mauritanie, le Niger et le Nigeria.
Dix autres pays musulmans, dont l'Indonésie, soutiennent la nouvelle coalition et pourraient se joindre à elle ultérieurement, précise encore l'agence Spa.Démontrer « le souci du monde islamique à combattre le terrorisme »« Cette coalition témoigne du souci du monde islamique à combattre le terrorismeet à être un partenaire dans la lutte mondiale contre ce fléau », a déclaré devant la presse le futur prince héritier et ministre saoudien de la Défense, Mohamed Ben Salmane.
L'Arabie saoudite, déjà à l'initiative au Yémen, fait partie aussi de la coalition internationale qui, sous la conduite des Etats-Unis, combat le groupe jihadiste Etat islamique en Syrie et en Irak. Pour l'heure, aucune précision n'a été fournie sur les opérations que mènera la coalition.
Seul objectif affiché : « combattre toute organisation terroriste », a déclaré le prince Mohamed, fils du souverain saoudien.