’’Le Sénégal est pleinement investi dans la lutte contre le terrorisme. Oui, le Sénégal est pleinement investi dans la lutte contre le terrorisme avec la collaboration de ses partenaires’’, a-t-il déclaré.
Il s’adressait à des journalistes sénégalais, au quartier ’’Colonel Frédéric Geille’’, à Ouakam, sur le retrait annoncé des militaires français et européens du Mali.
Le Général de Brigade a dit que son pays, en coordination avec ses alliés européens et Nord-américains, a décidé de ’’mettre fin à son engagement militaire au Mali’’, suite à leur désaccord avec la Junte au pouvoir, dans ce pays Ouest-africain.
Créées en 2011, les éléments Français au Sénégal (EFS) inscrivent leur action dans le cadre d’un traité de partenariat en matière de coopération militaire, qui unit les forces armées sénégalaises et françaises. Ils comptent 500 militaires et civils. Au sein des EFS, travaillent 180 personnels civils sénégalais. Michel Delpit a rappelé que les Eléments Français au Sénégal constituent un pôle opérationnel de coopération à vocation régionale. Ce pôle conduit des actions de partenariat avec les armées de l’Afrique de l’Ouest qui en expriment la demande.
Selon lui, le retrait des militaires français du Mali a été décidé par le président Emmanuel Macron, après une concertation avec ses partenaires, ’’parce que les conditions juridiques et politiques ne sont plus aujourd’hui, réunies pour le bon accomplissement de la mission sur le sol malien’’.
Il a ajouté : ’’La junte au pouvoir au Mali a fait le choix d’une rupture de confiance avec la communauté internationale’’.
Le Général de Brigade Michel Delpit a toutefois indiqué devant la nouvelle situation, que les Forces françaises et leurs alliés ’’sont résolus à poursuivre la lutte contre le terrorisme au Sahel, aux côtés des Etats d’Afrique qui le souhaitent’’.
D'après l'Aps, il a aussi dit qu’en quittant le Mali, le bilan de la Force Barkhane, après neuf ans de présence, ’’est très positif’’.
’’Elle a permis, en 2013, d’éviter l’effondrement de l’Etat malien. Elle a directement contribué à la montée en puissance des Forces armées maliennes, très bien structurées, (…)’’, a-t-il avancé.
’’C’est une force qui a aussi obtenu de très nombreux succès tactiques, en mettant hors de combat plus d’une centaine de djihadiste et chefs terroristes’’, a souligné le Général français.
Il a en outre indiqué que dans le cadre de la réarticulation de sa mission, la Force Barkhane va désormais se concentrer sur la poursuite des opérations conjointes aux cotés des Etats Sahéliens qui le souhaitent. Elle va aussi, a-t-il fait savoir, accentuer son action par la mise à disposition de moyens militaires, essentiellement aériens, pour aider les Forces africaines mais aussi françaises, engagées dans la lutte contre le terrorisme. La Force Barkhane va aussi se concentrer sur le partenariat militaire entre l’Armée française et ses alliées africaines, selon lui.
Il s’adressait à des journalistes sénégalais, au quartier ’’Colonel Frédéric Geille’’, à Ouakam, sur le retrait annoncé des militaires français et européens du Mali.
Le Général de Brigade a dit que son pays, en coordination avec ses alliés européens et Nord-américains, a décidé de ’’mettre fin à son engagement militaire au Mali’’, suite à leur désaccord avec la Junte au pouvoir, dans ce pays Ouest-africain.
Créées en 2011, les éléments Français au Sénégal (EFS) inscrivent leur action dans le cadre d’un traité de partenariat en matière de coopération militaire, qui unit les forces armées sénégalaises et françaises. Ils comptent 500 militaires et civils. Au sein des EFS, travaillent 180 personnels civils sénégalais. Michel Delpit a rappelé que les Eléments Français au Sénégal constituent un pôle opérationnel de coopération à vocation régionale. Ce pôle conduit des actions de partenariat avec les armées de l’Afrique de l’Ouest qui en expriment la demande.
Selon lui, le retrait des militaires français du Mali a été décidé par le président Emmanuel Macron, après une concertation avec ses partenaires, ’’parce que les conditions juridiques et politiques ne sont plus aujourd’hui, réunies pour le bon accomplissement de la mission sur le sol malien’’.
Il a ajouté : ’’La junte au pouvoir au Mali a fait le choix d’une rupture de confiance avec la communauté internationale’’.
Le Général de Brigade Michel Delpit a toutefois indiqué devant la nouvelle situation, que les Forces françaises et leurs alliés ’’sont résolus à poursuivre la lutte contre le terrorisme au Sahel, aux côtés des Etats d’Afrique qui le souhaitent’’.
D'après l'Aps, il a aussi dit qu’en quittant le Mali, le bilan de la Force Barkhane, après neuf ans de présence, ’’est très positif’’.
’’Elle a permis, en 2013, d’éviter l’effondrement de l’Etat malien. Elle a directement contribué à la montée en puissance des Forces armées maliennes, très bien structurées, (…)’’, a-t-il avancé.
’’C’est une force qui a aussi obtenu de très nombreux succès tactiques, en mettant hors de combat plus d’une centaine de djihadiste et chefs terroristes’’, a souligné le Général français.
Il a en outre indiqué que dans le cadre de la réarticulation de sa mission, la Force Barkhane va désormais se concentrer sur la poursuite des opérations conjointes aux cotés des Etats Sahéliens qui le souhaitent. Elle va aussi, a-t-il fait savoir, accentuer son action par la mise à disposition de moyens militaires, essentiellement aériens, pour aider les Forces africaines mais aussi françaises, engagées dans la lutte contre le terrorisme. La Force Barkhane va aussi se concentrer sur le partenariat militaire entre l’Armée française et ses alliées africaines, selon lui.