Le projet PSSM-SAHEL vise à contribuer à la sécurité et à la stabilité dans la région du sahel. En fournissant une assistance aux pays de cette zone Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger, Nigéria, Tchad, dans la prévention du détournement des ALPC et des munitions détenues par les Gouvernements, ainsi que leur trafic illicite, à travers l’amélioration des procédures PSSM.
Les différentes phases du projet ont permis, en concertation avec les autorités nationales et avec l’appui de divers partenaires techniques, de procéder à la réhabilitation de sites de stockages d’armement, renforcer les capacités en développant des procédures opérationnelles standards adaptées au contexte de chaque pays bénéficiaire, former des techniciens qui formeront à leur tour les personnels en marge directe de la gestion physique des stocks gouvernementaux. Aujourd’hui, nombreux sont les pays qui sont confrontés aux conséquences de cette circulation illicite qui exacerbe les tensions de conflits.
Les crises humanitaires qui en résultent sont une entrave au développement socio-économique, car elles favorisent l’apparition de réseaux criminels et terroristes. La région du Sahel plus particulièrement a connu une prolifération des ALPC suite au pillage des arsenaux étatiques de pays ayant récemment connu des crises. Les pays du sahel demeurent ainsi vulnérables aux effets déstabilisateurs de l’insécurité résultant des conflits armés, des activités terroristes et des trafics illicites. Ce que le chargé des affaires politique et coordinateur du PSSM, Rumongi Jean Bosco explique « l’objectif de cette rencontre,c’est de s’assoir avec toutes les commissions dont l’Union européenne, la Commission nationale du projet nous permet de regarder ensemble ce qui a été fait, de faire un bilan des activités liées aux ALPC et liées aussi au PSSM dans les pays comme le Burkina Faso, le Niger, le Nigeria, Tchad, Mali, Mauritanie ».
Poursuivant, il informe que le projet a été financé par l’Union Européenne pour combattre les trafics illicites d’armes légères, les petits calibres dans la sous-région et pour pouvoir faire un bilan avec tous les pays concernés afin de trouver une synergie et voir quel est le bilan que nous avons sur un projet qui vient de faire trois ans. Par ailleurs le coordonnateur du projet PSSM assure « le problème des ALPC,ce n’est plus le problème d’un pays donné mais un problème qu’on prend à bras le corps,c’est un problème sous régional et nous avons tous les pays ici et il faut que les commissions nationales puissent échanger ». En à croire Jean Bosco, la présence des larmes légères n’est pas un fléau spécifique à un pays donné, mais un problème qui date de longtemps. « En Afrique, il y a des jeunes qui utilisent toujours des armes et c’est à ce sens qu’on travaille à la demande des gouvernements pour qu’on puisse éduquer les gens en même temps ce n’est pas seulement un problème militaire mais aussi un problème de sensibilisation de la population, elles ne doivent pas prendre leur sécurité en main la où nous avons le gouvernement qui doit la faire », annonce M. Bosco. Selon le chargé du projet PSSM, il y a toujours dans la sous-région, des zones reculées ou les gens ont tendance à vouloir prendre leur sécurité à main. «C’est dans ce sens qu’on fait tout pour pouvoir faire la sécurisation des entrepôts et leurs munitions et aussi la sensibilisation des communautés », assure Jean Bosco.
Ousmane THIOR (stagiaire) Le Temoin
Les différentes phases du projet ont permis, en concertation avec les autorités nationales et avec l’appui de divers partenaires techniques, de procéder à la réhabilitation de sites de stockages d’armement, renforcer les capacités en développant des procédures opérationnelles standards adaptées au contexte de chaque pays bénéficiaire, former des techniciens qui formeront à leur tour les personnels en marge directe de la gestion physique des stocks gouvernementaux. Aujourd’hui, nombreux sont les pays qui sont confrontés aux conséquences de cette circulation illicite qui exacerbe les tensions de conflits.
Les crises humanitaires qui en résultent sont une entrave au développement socio-économique, car elles favorisent l’apparition de réseaux criminels et terroristes. La région du Sahel plus particulièrement a connu une prolifération des ALPC suite au pillage des arsenaux étatiques de pays ayant récemment connu des crises. Les pays du sahel demeurent ainsi vulnérables aux effets déstabilisateurs de l’insécurité résultant des conflits armés, des activités terroristes et des trafics illicites. Ce que le chargé des affaires politique et coordinateur du PSSM, Rumongi Jean Bosco explique « l’objectif de cette rencontre,c’est de s’assoir avec toutes les commissions dont l’Union européenne, la Commission nationale du projet nous permet de regarder ensemble ce qui a été fait, de faire un bilan des activités liées aux ALPC et liées aussi au PSSM dans les pays comme le Burkina Faso, le Niger, le Nigeria, Tchad, Mali, Mauritanie ».
Poursuivant, il informe que le projet a été financé par l’Union Européenne pour combattre les trafics illicites d’armes légères, les petits calibres dans la sous-région et pour pouvoir faire un bilan avec tous les pays concernés afin de trouver une synergie et voir quel est le bilan que nous avons sur un projet qui vient de faire trois ans. Par ailleurs le coordonnateur du projet PSSM assure « le problème des ALPC,ce n’est plus le problème d’un pays donné mais un problème qu’on prend à bras le corps,c’est un problème sous régional et nous avons tous les pays ici et il faut que les commissions nationales puissent échanger ». En à croire Jean Bosco, la présence des larmes légères n’est pas un fléau spécifique à un pays donné, mais un problème qui date de longtemps. « En Afrique, il y a des jeunes qui utilisent toujours des armes et c’est à ce sens qu’on travaille à la demande des gouvernements pour qu’on puisse éduquer les gens en même temps ce n’est pas seulement un problème militaire mais aussi un problème de sensibilisation de la population, elles ne doivent pas prendre leur sécurité en main la où nous avons le gouvernement qui doit la faire », annonce M. Bosco. Selon le chargé du projet PSSM, il y a toujours dans la sous-région, des zones reculées ou les gens ont tendance à vouloir prendre leur sécurité à main. «C’est dans ce sens qu’on fait tout pour pouvoir faire la sécurisation des entrepôts et leurs munitions et aussi la sensibilisation des communautés », assure Jean Bosco.
Ousmane THIOR (stagiaire) Le Temoin