En prenant la parole, le docteur Bernabé Gningue, Directeur général de la Santé, a expliqué qu’il s’agit d’une activité qui permet de revisiter la convention signée entre le ministère de la Santé dans le cadre de la lutte contre le VIH/Sida, la tuberculose et le paludisme. «A ce titre, nous apprécions les interventions de la société civile dans la lutte contre ces trois pathologies», a-t-il magnifié.
M. Gningue d’ajouter : «Deux indicateurs nous permettent de synthétiser notre réponse. Si aujourd’hui la société civile, à travers l’Ancs, est un récipiendaire principal de la subvention du Fonds mondial pour lutter contre ces trois maladies, cela est une sorte de consécration d’un effort fourni. Mais aussi d’une expérience avérée et d’une confiance placée dans la société civile sénégalaise, pour travailler à promouvoir la santé de façon générale».
D’après le Directeur général de la Santé, « l’Ancs est une organisation qui dispose d’un Conseil d’administration que nous écouterons attentivement ce que le Conseil d’administration. Et même si l’Ancs est récipiendaire pour ellemême, elle travaille pour le ministère de la santé. «Nous avons besoin de l’écouter en tant qu’acteur dans le cadre de la mise en œuvre de la politique nationale de santé et surtout au niveau des missions qui lui sont confiées».
Abondant dans le même sens, Maguette Mbodji, Directrice exécutive de l’Ancs a souligné que l’objectif de cette activité est de revoir et d’apprécier à sa juste valeur, l’implication des acteurs de la société civile dans la promotion de la santé et des droits humains. Et particulièrement, d'apprécier le rôle que les acteurs de la société civile ont dans la réponse aux maladies comme le VIH/Sida, le paludisme et la tuberculose.
Bes bi
M. Gningue d’ajouter : «Deux indicateurs nous permettent de synthétiser notre réponse. Si aujourd’hui la société civile, à travers l’Ancs, est un récipiendaire principal de la subvention du Fonds mondial pour lutter contre ces trois maladies, cela est une sorte de consécration d’un effort fourni. Mais aussi d’une expérience avérée et d’une confiance placée dans la société civile sénégalaise, pour travailler à promouvoir la santé de façon générale».
D’après le Directeur général de la Santé, « l’Ancs est une organisation qui dispose d’un Conseil d’administration que nous écouterons attentivement ce que le Conseil d’administration. Et même si l’Ancs est récipiendaire pour ellemême, elle travaille pour le ministère de la santé. «Nous avons besoin de l’écouter en tant qu’acteur dans le cadre de la mise en œuvre de la politique nationale de santé et surtout au niveau des missions qui lui sont confiées».
Abondant dans le même sens, Maguette Mbodji, Directrice exécutive de l’Ancs a souligné que l’objectif de cette activité est de revoir et d’apprécier à sa juste valeur, l’implication des acteurs de la société civile dans la promotion de la santé et des droits humains. Et particulièrement, d'apprécier le rôle que les acteurs de la société civile ont dans la réponse aux maladies comme le VIH/Sida, le paludisme et la tuberculose.
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