Les témoignages glaçants émanant de différentes régions du Sénégal évoquent des scènes de torture, des meurtres, ainsi que des interventions des forces de l’ordre tirant à balles réelles sur les manifestants. Plusieurs de ces récits ont été rassemblés et transmis à des instances internationales, telles que la Cour pénale internationale (CPI) et des organisations de défense des droits de l’Homme.
Face à cette situation alarmante, de nombreux jeunes, pris au piège d’un climat répressif, ont tenté de fuir le pays par la voie maritime, une tentative désespérée qui a conduit nombre d’entre eux à périr en mer. Ces tragédies ont suscité de vives réactions de la part des familles des victimes, renforçant les accusations graves portées contre le régime de Macky Sall.
Conscient de la gravité des charges pesant sur son gouvernement, Macky Sall a, dans les derniers jours de son mandat, fait adopter une loi d’amnistie par sa majorité parlementaire. Cette manœuvre, largement critiquée, est perçue comme une tentative de protéger son régime des poursuites judiciaires. Peu après cette adoption, Macky Sall a quitté précipitamment le Sénégal, emmenant avec lui sa famille, pour s’installer au Maroc. Ce choix de résidence ne serait pas anodin, puisque le Maroc, non signataire du Statut de Rome, n'est pas contraint de coopérer avec la CPI.
Le Collectif, dirigé par Boubacar Seye, œuvre activement pour que justice soit rendue aux victimes. Il regroupe les familles des personnes tuées lors des manifestations, mais aussi des disparus, des handicapés, des mutilés et des victimes de torture. Ce mouvement bénéficie du soutien de centaines de milliers de Sénégalais ayant signé une pétition appelant à l’extradition de Macky Sall vers le Sénégal pour qu’il soit jugé pour ses crimes présumés.
Le Collectif fonde ses revendications sur le respect des conventions internationales, notamment le Statut de Rome de 1998 relatif aux crimes contre l'humanité, la Convention des Nations Unies contre la torture de 1984 et la Convention de Palerme de 2003 sur la criminalité transnationale.
Il rappelle également l’article 8 de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948, qui garantit à tout individu le droit à un recours effectif contre les violations des droits fondamentaux.
Dans cette dynamique, le Collectif appelle les autorités sénégalaises et internationales à agir pour que Macky Sall soit jugé pour ses actions, dans le respect des lois internationales relatives aux droits de l’homme et aux crimes contre l’humanité.
Face à cette situation alarmante, de nombreux jeunes, pris au piège d’un climat répressif, ont tenté de fuir le pays par la voie maritime, une tentative désespérée qui a conduit nombre d’entre eux à périr en mer. Ces tragédies ont suscité de vives réactions de la part des familles des victimes, renforçant les accusations graves portées contre le régime de Macky Sall.
Conscient de la gravité des charges pesant sur son gouvernement, Macky Sall a, dans les derniers jours de son mandat, fait adopter une loi d’amnistie par sa majorité parlementaire. Cette manœuvre, largement critiquée, est perçue comme une tentative de protéger son régime des poursuites judiciaires. Peu après cette adoption, Macky Sall a quitté précipitamment le Sénégal, emmenant avec lui sa famille, pour s’installer au Maroc. Ce choix de résidence ne serait pas anodin, puisque le Maroc, non signataire du Statut de Rome, n'est pas contraint de coopérer avec la CPI.
Le Collectif, dirigé par Boubacar Seye, œuvre activement pour que justice soit rendue aux victimes. Il regroupe les familles des personnes tuées lors des manifestations, mais aussi des disparus, des handicapés, des mutilés et des victimes de torture. Ce mouvement bénéficie du soutien de centaines de milliers de Sénégalais ayant signé une pétition appelant à l’extradition de Macky Sall vers le Sénégal pour qu’il soit jugé pour ses crimes présumés.
Le Collectif fonde ses revendications sur le respect des conventions internationales, notamment le Statut de Rome de 1998 relatif aux crimes contre l'humanité, la Convention des Nations Unies contre la torture de 1984 et la Convention de Palerme de 2003 sur la criminalité transnationale.
Il rappelle également l’article 8 de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948, qui garantit à tout individu le droit à un recours effectif contre les violations des droits fondamentaux.
Dans cette dynamique, le Collectif appelle les autorités sénégalaises et internationales à agir pour que Macky Sall soit jugé pour ses actions, dans le respect des lois internationales relatives aux droits de l’homme et aux crimes contre l’humanité.