Cet événement, le cinquième du genre, a porté sur la mise aux enchères de divers lots comprenant des véhicules, des motos, des équipements électroniques et électroménagers (ordinateurs, téléphones portables, réfrigérateurs, cuisinières) ainsi que des meubles.
Le directeur général de l'ONRAC, Malick Lamotte, a souligné que "l'objectif est de s'assurer que pour toutes les infractions visant un profit, où les délinquants cherchent à s'enrichir, nous puissions identifier les biens issus de cet enrichissement illicite, les saisir, puis les vendre afin que le crime ne soit pas lucratif."
M. Lamotte a précisé que les biens mis en vente avaient été saisis auprès de personnes poursuivies, condamnées ou en cours de poursuite judiciaire. Pour éviter une dépréciation de ces biens, le produit de la vente sera déposé auprès de la Caisse de dépôt et de consignation. En cas de décision de relaxe, de non-lieu ou d'acquittement, les propriétaires pourront récupérer la contre-valeur des biens saisis.
L'ONRAC a ainsi déposé une somme d'un milliard de FCFA auprès de la Caisse de dépôt et de consignation, a informé Malick Lamotte, précisant que ce montant concerne uniquement les biens vendus lors des quatre éditions précédentes. En y ajoutant les saisies en numéraire et autres confiscations, le total des dépôts dépasse les quatre milliards de FCFA, a-t-il ajouté.
M. Lamotte a rappelé que l'ONRAC est investi d'une "mission légale", consistant à procéder au recouvrement et à la vente des biens saisis par les autorités judiciaires.
Cheikh Tidiane Youm, représentant du ministre des Finances et du Budget, a déclaré que la création de l'ONRAC reflète la volonté politique du gouvernement de renforcer la lutte contre la criminalité économique et financière. Selon lui, cette structure offre de "bonnes perspectives", tant pour la dissuasion que pour la récupération des avoirs issus d'activités criminelles.
Le directeur général de l'ONRAC, Malick Lamotte, a souligné que "l'objectif est de s'assurer que pour toutes les infractions visant un profit, où les délinquants cherchent à s'enrichir, nous puissions identifier les biens issus de cet enrichissement illicite, les saisir, puis les vendre afin que le crime ne soit pas lucratif."
M. Lamotte a précisé que les biens mis en vente avaient été saisis auprès de personnes poursuivies, condamnées ou en cours de poursuite judiciaire. Pour éviter une dépréciation de ces biens, le produit de la vente sera déposé auprès de la Caisse de dépôt et de consignation. En cas de décision de relaxe, de non-lieu ou d'acquittement, les propriétaires pourront récupérer la contre-valeur des biens saisis.
L'ONRAC a ainsi déposé une somme d'un milliard de FCFA auprès de la Caisse de dépôt et de consignation, a informé Malick Lamotte, précisant que ce montant concerne uniquement les biens vendus lors des quatre éditions précédentes. En y ajoutant les saisies en numéraire et autres confiscations, le total des dépôts dépasse les quatre milliards de FCFA, a-t-il ajouté.
M. Lamotte a rappelé que l'ONRAC est investi d'une "mission légale", consistant à procéder au recouvrement et à la vente des biens saisis par les autorités judiciaires.
Cheikh Tidiane Youm, représentant du ministre des Finances et du Budget, a déclaré que la création de l'ONRAC reflète la volonté politique du gouvernement de renforcer la lutte contre la criminalité économique et financière. Selon lui, cette structure offre de "bonnes perspectives", tant pour la dissuasion que pour la récupération des avoirs issus d'activités criminelles.