Cette dernière qui a déposé plainte contre le jeune homme, a affirmé que ce dernier l’a entraînée derrière le lycée Malick Sall de Louga pour la violer. Relatant les faits, A. N soutient qu’elle avait demandé au jeune basketteur le prix du billet pour se rendre au Magal de Porokhane. Ce que ce dernier avait accepté, mais, poursuit-elle, le basketteur n’a pas voulu déposer l’argent, comme elle le lui demandait, chez un vendeur de lait caillé, exigeant d’elle de venir le récupérer elle-même.
Ce que la jeune fille dit avoir accepté sans arrière-pensée. Mais une fois sur les lieux, vers 21 heures, le jeune l’entraîne derrière le lycée et lui propose une séance de jambes en l’air en guise d’échange. Ce que la lycéenne dit avoir catégoriquement refusé. Mais, dit-elle, le jeune basketteur lui a imposé une épreuve de force et a profité du calme qui régnait sur les lieux pour la violer.
Une version démentie par le jeune homme, qui soutient qu’il entretenait une relation amoureuse avec la lycéenne depuis quelques semaines. Le basketteur avoue ainsi avoir entretenu des relations sexuelles avec elle, mais soutient que la lycéenne était consentante. Mieux encore, il dit que c’était la seconde fois que la fille et lui entretenait des relations sexuelles. Une version qui n’a toutefois pas convaincu les enquêteurs, qui l’ont déféré à la Maison d’arrêt et de correction de Louga depuis jeudi.
Ce que la jeune fille dit avoir accepté sans arrière-pensée. Mais une fois sur les lieux, vers 21 heures, le jeune l’entraîne derrière le lycée et lui propose une séance de jambes en l’air en guise d’échange. Ce que la lycéenne dit avoir catégoriquement refusé. Mais, dit-elle, le jeune basketteur lui a imposé une épreuve de force et a profité du calme qui régnait sur les lieux pour la violer.
Une version démentie par le jeune homme, qui soutient qu’il entretenait une relation amoureuse avec la lycéenne depuis quelques semaines. Le basketteur avoue ainsi avoir entretenu des relations sexuelles avec elle, mais soutient que la lycéenne était consentante. Mieux encore, il dit que c’était la seconde fois que la fille et lui entretenait des relations sexuelles. Une version qui n’a toutefois pas convaincu les enquêteurs, qui l’ont déféré à la Maison d’arrêt et de correction de Louga depuis jeudi.