A l’expiration du préavis, les travailleurs du secteur de l’hydraulique menacent d’observer une grève de 72 heures tous les mois à partir du mois de juillet jusqu’à la fin de l’année 2023, a mis en garde M. Coulibaly.
« Nous avons déposé un préavis pour aller en grève pendant 72 heures tous les mois, à compter de juillet jusqu’au mois de décembre 2023. L’objectif est d’exiger l’application du protocole d’accord signé le 14 février 2022 entre la tutelle représentée par le ministère de l’Eau et de l’Assainissement et le sécrétaire général de la SNTH », a expliqué Yély Coulibaly.
Les travailleurs du secteur de l’Eau et de l’Assainissement réclament « surtout l’adhésion à une institution de prévoyance maladie (IPM) », a poursuivi le syndicaliste.
Au cours d’un point de presse tenu à Louga en présence des délégués venus des 13 autres régions du pays, le secrétaire général du SNTH a listé d’autres doléances liées notamment à la « dotation de moyens matériels et logistiques en vue de « garantir un service public de qualité et l’opérationnalité des services concentrés ».
Le recrutement du personnel d’appui, édicté par le président de la République et la revalorisation salariale et l’alignement des rémunérations de la taxe d’exhaure par l’adjonction de primes et d’indemnités, font partie des points de revendications qui figurent sur la plateforme des syndicalistes.
Le syndicaliste en chef du SNTH a aussi dénoncé la « dégradation des conditions de vie et de travail (…), le manque de vision et les errements constatés dans la réforme du secteur de l’hydraulique rurale qui a créé une situation inconfortable des travailleurs (…) ».
« Plusieurs rencontres se sont tenues au niveau du ministère de l’Eau et de l’Assainissement, pour l’amélioration des conditions d’existence et de travail des travailleurs de l’hydraulique, mais elles n’ont rien donné », a-t-il regretté.
Yély Coulibaly a rappelé que le chef de l’Etat, Macky Sall, a instruit la tutelle le 22 février 2023 de « prendre toutes les mesures idoines pour, d’une part, accélérer le programme des branchements sociaux dans les zones prioritaires et, d’autre part, procéder au règlement définitif du dossier récurrent des travailleurs bénévoles du secteur de l’hydraulique ».
APS
« Nous avons déposé un préavis pour aller en grève pendant 72 heures tous les mois, à compter de juillet jusqu’au mois de décembre 2023. L’objectif est d’exiger l’application du protocole d’accord signé le 14 février 2022 entre la tutelle représentée par le ministère de l’Eau et de l’Assainissement et le sécrétaire général de la SNTH », a expliqué Yély Coulibaly.
Les travailleurs du secteur de l’Eau et de l’Assainissement réclament « surtout l’adhésion à une institution de prévoyance maladie (IPM) », a poursuivi le syndicaliste.
Au cours d’un point de presse tenu à Louga en présence des délégués venus des 13 autres régions du pays, le secrétaire général du SNTH a listé d’autres doléances liées notamment à la « dotation de moyens matériels et logistiques en vue de « garantir un service public de qualité et l’opérationnalité des services concentrés ».
Le recrutement du personnel d’appui, édicté par le président de la République et la revalorisation salariale et l’alignement des rémunérations de la taxe d’exhaure par l’adjonction de primes et d’indemnités, font partie des points de revendications qui figurent sur la plateforme des syndicalistes.
Le syndicaliste en chef du SNTH a aussi dénoncé la « dégradation des conditions de vie et de travail (…), le manque de vision et les errements constatés dans la réforme du secteur de l’hydraulique rurale qui a créé une situation inconfortable des travailleurs (…) ».
« Plusieurs rencontres se sont tenues au niveau du ministère de l’Eau et de l’Assainissement, pour l’amélioration des conditions d’existence et de travail des travailleurs de l’hydraulique, mais elles n’ont rien donné », a-t-il regretté.
Yély Coulibaly a rappelé que le chef de l’Etat, Macky Sall, a instruit la tutelle le 22 février 2023 de « prendre toutes les mesures idoines pour, d’une part, accélérer le programme des branchements sociaux dans les zones prioritaires et, d’autre part, procéder au règlement définitif du dossier récurrent des travailleurs bénévoles du secteur de l’hydraulique ».
APS