Cette année, la présence des patrouilles des services de sécurité a fait baisser l'insécurité. Le nombre de vols à main armée et les cambriolages ont diminué. Mais hélas, de jeunes voyous recommencent à circuler la nuit. Sous la menace de poignards, ils braquent les passants pour les délester de leurs téléphones et autres objets de valeur.
Cheikh Ndiaye, habitant au quartier "Fakeu Deukeu" victime d'une agression, raconte sa mésaventure. « Lundi dernier, vers 1 heure du matin, dans une ruelle sombre, j’ai été attaqué par un gaillard qui m'a poignardé à plusieurs reprises avant de me vider les poches. J’ai été secouru par un groupe de jeunes », narre-t-il.
La Police qui veille à la sécurité des populations et de leurs biens recherche toujours les agresseurs et les voyous, nous renseigne un habitant de ce quartier.
Une commerçante au marché central de Louga, a aussi été agressée. Elle témoigne: «grièvement blessée, j'ai été évacuée à l'hôpital. J'étais accompagnée par ma copine qui a pris la poudre d'escampette lorsque les agresseurs nous ont interceptées vers 6 heures du matin à "Guinaw Rail". Les malfrats m'ont tabassée avant de me traîner par terre. Ils m’ont pris la pochette qui contenait de l'argent et mon portable.
Après leur sale besogne, les malfrats ont disparu à travers les rues sombres, près du nouveau marché .Ils étaient au nombre de 3 et été armés de couteaux ». Interrogée, Maguette Diop déclare que les bandits avaient un jour agressé sa fille en plein jour. La victime s'est fracturée le bras droit et les agresseurs courent toujours.
Beaucoup de de zones comme Guinaw Rail, Fakeu Deukeu, Touba Seras et Médina Salam n'ont jamais connu ni repos, ni paix au cours des années passées. Des bandes de hors-la-loi y opèrent à chaque heure de la journée, et surtout la nuit.
Les toxicomanes sont partout visibles et consomment leurs drogues au vu et au su de tous. Selon les statistiques de certaines organisations de la place, 80% des délits et crimes ont été commis dans les nouveaux quartiers. Agressions, cambriolages, viols et braquages s'y déroulent quotidiennement.
Selon un délégué de quartier rencontré, « des produits utilisés comme de la drogue sont souvent introduits dans les établissements scolaires et les salles de jeux. Ce qui serait la cause directe de la brusque élévation du nombre de crimes ».
Les malfrats se cachent dans des maisons en construction ou abandonnées par leurs propriétaires. Ils fréquentent les quartiers enclavés de la périphérie pour ne pas être identifiés. Et malgré cette situation d'insécurité qui frappe les zones reculées, les services de sécurité font incessamment des patrouilles pour assister les populations.
Cette situation d'insécurité mérite d'être réglée, même si les autorités sont en train d'user leurs forces pour y parvenir.
Rewmi
Cheikh Ndiaye, habitant au quartier "Fakeu Deukeu" victime d'une agression, raconte sa mésaventure. « Lundi dernier, vers 1 heure du matin, dans une ruelle sombre, j’ai été attaqué par un gaillard qui m'a poignardé à plusieurs reprises avant de me vider les poches. J’ai été secouru par un groupe de jeunes », narre-t-il.
La Police qui veille à la sécurité des populations et de leurs biens recherche toujours les agresseurs et les voyous, nous renseigne un habitant de ce quartier.
Une commerçante au marché central de Louga, a aussi été agressée. Elle témoigne: «grièvement blessée, j'ai été évacuée à l'hôpital. J'étais accompagnée par ma copine qui a pris la poudre d'escampette lorsque les agresseurs nous ont interceptées vers 6 heures du matin à "Guinaw Rail". Les malfrats m'ont tabassée avant de me traîner par terre. Ils m’ont pris la pochette qui contenait de l'argent et mon portable.
Après leur sale besogne, les malfrats ont disparu à travers les rues sombres, près du nouveau marché .Ils étaient au nombre de 3 et été armés de couteaux ». Interrogée, Maguette Diop déclare que les bandits avaient un jour agressé sa fille en plein jour. La victime s'est fracturée le bras droit et les agresseurs courent toujours.
Beaucoup de de zones comme Guinaw Rail, Fakeu Deukeu, Touba Seras et Médina Salam n'ont jamais connu ni repos, ni paix au cours des années passées. Des bandes de hors-la-loi y opèrent à chaque heure de la journée, et surtout la nuit.
Les toxicomanes sont partout visibles et consomment leurs drogues au vu et au su de tous. Selon les statistiques de certaines organisations de la place, 80% des délits et crimes ont été commis dans les nouveaux quartiers. Agressions, cambriolages, viols et braquages s'y déroulent quotidiennement.
Selon un délégué de quartier rencontré, « des produits utilisés comme de la drogue sont souvent introduits dans les établissements scolaires et les salles de jeux. Ce qui serait la cause directe de la brusque élévation du nombre de crimes ».
Les malfrats se cachent dans des maisons en construction ou abandonnées par leurs propriétaires. Ils fréquentent les quartiers enclavés de la périphérie pour ne pas être identifiés. Et malgré cette situation d'insécurité qui frappe les zones reculées, les services de sécurité font incessamment des patrouilles pour assister les populations.
Cette situation d'insécurité mérite d'être réglée, même si les autorités sont en train d'user leurs forces pour y parvenir.
Rewmi