Les jeunes de Goldamel et de Tobéne, dans le département de Kébémer, sont montés au créneau pour réclamer la restitution de leurs 50 hectares de terre attribués à un promoteur agricole.
« Ce scandale foncier est de trop. Après Diocoundiaouring, Tivaouane Peul, Malika,…,la commune de Thiék entre dans la danse. Plus de 1000 hectares ont été octroyés à des promoteurs entre 2010 et 2021 par le maire Mouhamed Diagne et ses complices », dénonce leur porte-parole par ailleurs fils du chef du village.
Mieux martèle ce dernier : « La goutte d’eau qui a déversé le vase, n’est rien d’autre qu’une session de plus de 50 hectares octroyés à un promoteur sur des bases fausses et illégales. Car les terres octroyées n’ont fait objet d’aucune délibération, ni de bail encore moins une autorisation de la brigade des Eaux et forêt pour abattre plus de 1000 arbres. Ce qui est très grave ».Ces manifestants qui ne décolèrent pas, comptent saisir la justice si jamais leurs terres ne leur sont pas restituées, livre Walf radio.
Interpelé sur cette affaire, le maire Mouhamed Dia nie toutes ces accusations. Il indique que l’attribution de ces terres pour usage agricole a fait l’objet de délibération 1997. Le maire de Thièk précise, d’ailleurs, que ces terres appartiennent uniquement aux populations de Galdamel Naodibouyo qui ont décidé de collaborer avec le promoteur pour développer un projet.
« Ce scandale foncier est de trop. Après Diocoundiaouring, Tivaouane Peul, Malika,…,la commune de Thiék entre dans la danse. Plus de 1000 hectares ont été octroyés à des promoteurs entre 2010 et 2021 par le maire Mouhamed Diagne et ses complices », dénonce leur porte-parole par ailleurs fils du chef du village.
Mieux martèle ce dernier : « La goutte d’eau qui a déversé le vase, n’est rien d’autre qu’une session de plus de 50 hectares octroyés à un promoteur sur des bases fausses et illégales. Car les terres octroyées n’ont fait objet d’aucune délibération, ni de bail encore moins une autorisation de la brigade des Eaux et forêt pour abattre plus de 1000 arbres. Ce qui est très grave ».Ces manifestants qui ne décolèrent pas, comptent saisir la justice si jamais leurs terres ne leur sont pas restituées, livre Walf radio.
Interpelé sur cette affaire, le maire Mouhamed Dia nie toutes ces accusations. Il indique que l’attribution de ces terres pour usage agricole a fait l’objet de délibération 1997. Le maire de Thièk précise, d’ailleurs, que ces terres appartiennent uniquement aux populations de Galdamel Naodibouyo qui ont décidé de collaborer avec le promoteur pour développer un projet.