Essayer de rapprocher les points de vue entre l’Armée nationale libyenne et le Parlement, dissiper les malentendus entre Khalifa Haftar et Aguila Saleh afin d’opérer un rapprochement et d’unir les positions des deux hommes sur certains dossiers, ce sont les objectifs de cette rencontre.
Depuis leurs pourparlers en juin dernier au Caire avec le président égyptien, c’est Aguila Saleh qui a été mis au-devant de la scène pour parler au nom du camp de l’est libyen. Le Caire veut inclure le maréchal Haftar dans la solution. Les dossiers de l’armée, des milices, du terrorisme et du pétrole étaient aussi sur la table des discussions.
Selon nos informations le Caire, tout comme Haftar, s’oppose catégoriquement à l’intégration des milices dans les forces régulières et demande leur dissolution totale. Elle va donc intégrer dans son initiative pour la paix un mécanisme pour désarmer les milices.
L’Egypte doit aussi y inclure l’accord sur le pétrole, signé la semaine dernière entre le camp Haftar et Ahmed Miitig, vice-président du Conseil présidentiel. L’accord stipule que l’argent généré par le secteur pétrolier soit reparti équitablement et contrôler par un comité indépendant non pas par la banque centrale. Il a été également question de mettre les terminaux pétroliers sous contrôle international.
La présidence égyptienne a, de son côté saisi l’occasion de cette réunion pour réitérer sa position sur les lignes rouges à Syrte et à Al-Joufra tout en appelant les libyens au dialogue.
Depuis leurs pourparlers en juin dernier au Caire avec le président égyptien, c’est Aguila Saleh qui a été mis au-devant de la scène pour parler au nom du camp de l’est libyen. Le Caire veut inclure le maréchal Haftar dans la solution. Les dossiers de l’armée, des milices, du terrorisme et du pétrole étaient aussi sur la table des discussions.
Selon nos informations le Caire, tout comme Haftar, s’oppose catégoriquement à l’intégration des milices dans les forces régulières et demande leur dissolution totale. Elle va donc intégrer dans son initiative pour la paix un mécanisme pour désarmer les milices.
L’Egypte doit aussi y inclure l’accord sur le pétrole, signé la semaine dernière entre le camp Haftar et Ahmed Miitig, vice-président du Conseil présidentiel. L’accord stipule que l’argent généré par le secteur pétrolier soit reparti équitablement et contrôler par un comité indépendant non pas par la banque centrale. Il a été également question de mettre les terminaux pétroliers sous contrôle international.
La présidence égyptienne a, de son côté saisi l’occasion de cette réunion pour réitérer sa position sur les lignes rouges à Syrte et à Al-Joufra tout en appelant les libyens au dialogue.