Il invite ainsi le chef de l’Etat “à tenir ses promesses”, rappelant qu’il s’était engagé dans son livre programme en tant que candidat à supprimer la peine d’emprisonnement pour les infractions de presse.
“L’organisation appelle celui qui est devenu, le 2 avril dernier, président de la République sénégalaise, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, à tenir cette promesse et à ouvrir une nouvelle ère pour les médias”, a écrit M. Marone, dans un communiqué de presse reçu à l’APS.
Il estime qu’il faut une “suppression de la peine d’emprisonnement pour les infractions de presse, la tolérance zéro à l’égard des attaques contre les médias, les garanties quant à la sécurité des journalistes sur le terrain…”.
Reporters sans frontières appelle les nouvelles autorités à faire de la sécurité des journalistes une priorité et à proposer une politique ambitieuse pour que la liberté de la presse soit respectée.
Sadibou Marone considère en effet que “la liberté de la presse a été gravement mise à mal ces dernières années au Sénégal (arrestations et agressions des journalistes, suspensions de médias et coupures abusives d’Internet). Le pays doit renouer avec sa tradition de modèle en la matière”, a-t-il dit.
RSF invite le président Faye à se saisir de dix mesures phares incluant aussi la régulation des plateformes numériques conformes aux propositions du partenariat international sur l’information et la démocratie dont le Sénégal est signataire ou encore la suppression des amendes exorbitantes pour les délits de presse.
“L’organisation appelle celui qui est devenu, le 2 avril dernier, président de la République sénégalaise, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, à tenir cette promesse et à ouvrir une nouvelle ère pour les médias”, a écrit M. Marone, dans un communiqué de presse reçu à l’APS.
Il estime qu’il faut une “suppression de la peine d’emprisonnement pour les infractions de presse, la tolérance zéro à l’égard des attaques contre les médias, les garanties quant à la sécurité des journalistes sur le terrain…”.
Reporters sans frontières appelle les nouvelles autorités à faire de la sécurité des journalistes une priorité et à proposer une politique ambitieuse pour que la liberté de la presse soit respectée.
Sadibou Marone considère en effet que “la liberté de la presse a été gravement mise à mal ces dernières années au Sénégal (arrestations et agressions des journalistes, suspensions de médias et coupures abusives d’Internet). Le pays doit renouer avec sa tradition de modèle en la matière”, a-t-il dit.
RSF invite le président Faye à se saisir de dix mesures phares incluant aussi la régulation des plateformes numériques conformes aux propositions du partenariat international sur l’information et la démocratie dont le Sénégal est signataire ou encore la suppression des amendes exorbitantes pour les délits de presse.