Il était un peu plus de 12h45, heure de Paris (10h45 TU) quand l’avion s’est posé sur le tarmac de l’aéroport militaire de Villacoublay avec un petit quart d’heure de retard sur l’horaire officiellement annoncé. Un vol qui était parti presque six heures plus tôt de Bamako, la capitale malienne.
À bord de l’appareil aux côtés de Sophie Pétronin, il y avait son fils, Sébastien Chadaud, arrivé en début de semaine au Mali. Il y avait aussi deux médecins chargés de surveiller l’état de santé de la Française âgée de 75 ans.
Elle a été la première à sortir de l’avion, foulard blanc sur la tête, un manteau beige, un pantalon noir, des baskets blanches et bien sûr un masque. Elle a été accueillie par le président français, Emmanuel Macron, arrivé sur place un peu plus tôt, ainsi que Jean-Yves Le Drian, le ministre des Affaires étrangères. Ils ont échangé quelques mots en bas de la passerelle.
Puis Sophie Pétronin a serré dans ses bras son petit-fils d’une dizaine d’années. Il y avait également deux autres hommes, membres de sa famille sur le tarmac. Et tout le reste de la famille s’est approché. Sophie Pétronin a enlacé ses proches qu’elle n’avait pas vus depuis des années. Une embrassade de groupe comme une espèce de ronde qui a duré de très longues minutes. C’était un moment très fort, très émouvant.
À bord de l’appareil aux côtés de Sophie Pétronin, il y avait son fils, Sébastien Chadaud, arrivé en début de semaine au Mali. Il y avait aussi deux médecins chargés de surveiller l’état de santé de la Française âgée de 75 ans.
Elle a été la première à sortir de l’avion, foulard blanc sur la tête, un manteau beige, un pantalon noir, des baskets blanches et bien sûr un masque. Elle a été accueillie par le président français, Emmanuel Macron, arrivé sur place un peu plus tôt, ainsi que Jean-Yves Le Drian, le ministre des Affaires étrangères. Ils ont échangé quelques mots en bas de la passerelle.
Puis Sophie Pétronin a serré dans ses bras son petit-fils d’une dizaine d’années. Il y avait également deux autres hommes, membres de sa famille sur le tarmac. Et tout le reste de la famille s’est approché. Sophie Pétronin a enlacé ses proches qu’elle n’avait pas vus depuis des années. Une embrassade de groupe comme une espèce de ronde qui a duré de très longues minutes. C’était un moment très fort, très émouvant.