Dans notre édition du 18 octobre 2023, « Le Témoin » avait fait un article intitulé : « Libération d’Ousmane Sonko, ce n’est pas demain la veille ! ». Sauf miracle divin ou prouesse politique, « Le Témoin » avait juré que le leader de Pastef Ousmane Sonko ne sera libéré qu’après la présidentielle de 2024. Une volonté politico-judiciaire qui compromet encore davantage la candidature d’Ousmane Sonko. Votre quotidien préféré était allé plus loin, en avançant qu’aucun des « lieutenants » d’Ousmane Sonko et autres cadres de Pastef, ne serait candidat à la Présidentielle 2024.
Quatre mois après notre article et à quelques semaines du scrutin du 25 février 2024, l’histoire est en passe de donner raison au quotidien « Le Témoin ». Un état de fait anti-démocratique, qui laisse croire qu’aucun drapeau ou drapelet de Pastef ne flottera dans cette prochaine campagne électorale. C’est triste pour le Sénégal du président Abdou Diouf, qui annonçait en 1981, l’ouverture politique et le multipartisme intégral en ces termes : « Jakk jaa ngook, kuman nga nodd ». Autrement dit, tout le monde était libre de créer son parti politique. Et, s’il le voulait, se présenter aux élections. Sauf Ousmane Sonko !
Quatre mois après notre article et à quelques semaines du scrutin du 25 février 2024, l’histoire est en passe de donner raison au quotidien « Le Témoin ». Un état de fait anti-démocratique, qui laisse croire qu’aucun drapeau ou drapelet de Pastef ne flottera dans cette prochaine campagne électorale. C’est triste pour le Sénégal du président Abdou Diouf, qui annonçait en 1981, l’ouverture politique et le multipartisme intégral en ces termes : « Jakk jaa ngook, kuman nga nodd ». Autrement dit, tout le monde était libre de créer son parti politique. Et, s’il le voulait, se présenter aux élections. Sauf Ousmane Sonko !