Un triste sentiment m’habite, me trouble et me crie à chaque instant pour que je m’adresse à vous par voie de presse en lettre ouverte qui vous parviendra ou, à quelques de vos proches qui ont le même souhait que moi et qui, ne tarderont pas à vous le notifier : celui de vous voir poursuivre votre programme politique pour notre cher Sénégal, je veux dire un second mandat dès le premier tour. Ceci nécessite une nouvelle stratégie organisationnelle allant de la base au sommet au niveau de toutes les structures qui composent notre parti.
Depuis votre accession à la magistrature suprême, peu sont les quelques responsables qui font bouger les lignes et ceci au sein de presque toutes les structures du parti. Si je devais personnellement en faire mention, acceptable, je le décernerai à Madame Thérèse Faye DIOUF de la COJER qui s’abatte nuit et jour pour sensibiliser les jeunes à s’inscrire sur les listes électorales et à adhérer au parti par des stratégies de proximité innovantes et très osées d’avec la population. La plupart des responsables sont préoccupés par le vœu de ficeler avec vous ou votre chère épouse, des liens plus doux et plus proches à leurs ambitions personnelles par des approches intelligentes malheureusement sans effet bénéfique pour l’électorat et s’articulant autour du folklore en lieu et place de projets de développement intégrés dans le PSE. Je vous en conjure, tachez Excellence, de calmer l’ivresse des fins désirs subtils bien calculés de ces gens et exigez-les de descendre à la base pour la réorganisation, la massification, l’animation et le maintien des militants autour de projets pertinents et utiles. Ce n’est ni impossible et encore moins difficile car votre programme politique est excellent seulement l’exécution demeure le nœud du problème. Avec une bonne approche politique à la base, notre parti peut assurer 40% de l’électorat, votre merveilleux programme politique comblera le reste au sein de la population apolitique pour assurer votre passage dès le premier tour.
Que d’inexplicables contradictions politiques, de stratégies impertinentes, de confiance à l’excès au sein de la coalition « Benno Bokk Yaakaar » ! Le temps, seul juge efficace nous éclaire petit à petit mais, pour mieux appréhender dans le fond et dans la forme l’énigme de la dite coalition que d’aucuns qualifiaient de coalition de dupe, car soutenant que des partis membres présenteront leur candidat à la prochaine présidentielle pour vous succéder, la raison est toute claire pour eux. Aucune logique, aucune pertinence, aucune norme politique ne dicte une candidature plurielle dans une coalition d’avec le parti au pouvoir, sinon une adversité farouche qui se cache dans des intérêts et privilèges pour éviter une traversée pénible du désert entre deux joutes électoraux.
Ainsi Excellence, Monsieur le Secrétaire général, défaites-vous de l’espoir d’être soutenu par cette coalition et concentrez-vous à notre formation politique qui vous avait permis de passer au second tour en 2012 avec 26,19% des voix car l’exemple de son Excellence Monsieur Moustapha NIASS demeure une preuve politique irréfutable. Son parti a connu des difficultés allant à des scissions et exclusions qui l’ont affaibli aujourd’hui. Aussi, exigez aux différents partis souteneurs de se déterminer clairement pour rester ou quitter la coalition. Au regard des considérations articulées à la « transhumance » politique consécutive aux débauchages de toutes natures, la plupart des sénégalais y voient une « mise » au « tong-tong » du pouvoir après la victoire, si bien qu’ils préfèrent s’abstenir ou se résigner à voter pour.
Je voudrais que vous pussiez sentir combien il est temps de reprendre le parti et de définir pour chaque structure interne du parti, un cahier de charges dont les grandes lignes seront axées sur une politique de ressources humaines qui s’articulera autour de thèmes tels que : le recrutement, l’allocation optimale, la fidélisation et la motivation qui prendra en compte l’ensemble du territoire sénégalais et de la Diaspora. Ma sollicitude émane d’un constat global du fonctionnement de notre formation politique depuis que vous êtes élu à la tête du Sénégal. Rien ne va au sein du parti, nous sommes restés à la base ; aux comités je veux dire sans programmes, sans informations, sans animation, sans formations et les structures internes et externes sont restées au stade provisoire, sans changement, sans suivi, sans innovation aucune alors que nous, qui vous savons pragmatique et efficace, sommes persuadés que vous pouvez bel et bien relevez les défis en donnant les directives et conseils qui s’imposent. Ce n’est pas l’opposition qui m’a fait écrire mais je veux que vous nous léguez un parti fort pour nous permettre de dérouler le PSE jusqu’en 2035.
Fidèlement à vous,
Votre jeune compatriote et militant Malick Wade GUEYE depuis Almeria/Espagne
Wadegueye71@yahoo.fr
Depuis votre accession à la magistrature suprême, peu sont les quelques responsables qui font bouger les lignes et ceci au sein de presque toutes les structures du parti. Si je devais personnellement en faire mention, acceptable, je le décernerai à Madame Thérèse Faye DIOUF de la COJER qui s’abatte nuit et jour pour sensibiliser les jeunes à s’inscrire sur les listes électorales et à adhérer au parti par des stratégies de proximité innovantes et très osées d’avec la population. La plupart des responsables sont préoccupés par le vœu de ficeler avec vous ou votre chère épouse, des liens plus doux et plus proches à leurs ambitions personnelles par des approches intelligentes malheureusement sans effet bénéfique pour l’électorat et s’articulant autour du folklore en lieu et place de projets de développement intégrés dans le PSE. Je vous en conjure, tachez Excellence, de calmer l’ivresse des fins désirs subtils bien calculés de ces gens et exigez-les de descendre à la base pour la réorganisation, la massification, l’animation et le maintien des militants autour de projets pertinents et utiles. Ce n’est ni impossible et encore moins difficile car votre programme politique est excellent seulement l’exécution demeure le nœud du problème. Avec une bonne approche politique à la base, notre parti peut assurer 40% de l’électorat, votre merveilleux programme politique comblera le reste au sein de la population apolitique pour assurer votre passage dès le premier tour.
Que d’inexplicables contradictions politiques, de stratégies impertinentes, de confiance à l’excès au sein de la coalition « Benno Bokk Yaakaar » ! Le temps, seul juge efficace nous éclaire petit à petit mais, pour mieux appréhender dans le fond et dans la forme l’énigme de la dite coalition que d’aucuns qualifiaient de coalition de dupe, car soutenant que des partis membres présenteront leur candidat à la prochaine présidentielle pour vous succéder, la raison est toute claire pour eux. Aucune logique, aucune pertinence, aucune norme politique ne dicte une candidature plurielle dans une coalition d’avec le parti au pouvoir, sinon une adversité farouche qui se cache dans des intérêts et privilèges pour éviter une traversée pénible du désert entre deux joutes électoraux.
Ainsi Excellence, Monsieur le Secrétaire général, défaites-vous de l’espoir d’être soutenu par cette coalition et concentrez-vous à notre formation politique qui vous avait permis de passer au second tour en 2012 avec 26,19% des voix car l’exemple de son Excellence Monsieur Moustapha NIASS demeure une preuve politique irréfutable. Son parti a connu des difficultés allant à des scissions et exclusions qui l’ont affaibli aujourd’hui. Aussi, exigez aux différents partis souteneurs de se déterminer clairement pour rester ou quitter la coalition. Au regard des considérations articulées à la « transhumance » politique consécutive aux débauchages de toutes natures, la plupart des sénégalais y voient une « mise » au « tong-tong » du pouvoir après la victoire, si bien qu’ils préfèrent s’abstenir ou se résigner à voter pour.
Je voudrais que vous pussiez sentir combien il est temps de reprendre le parti et de définir pour chaque structure interne du parti, un cahier de charges dont les grandes lignes seront axées sur une politique de ressources humaines qui s’articulera autour de thèmes tels que : le recrutement, l’allocation optimale, la fidélisation et la motivation qui prendra en compte l’ensemble du territoire sénégalais et de la Diaspora. Ma sollicitude émane d’un constat global du fonctionnement de notre formation politique depuis que vous êtes élu à la tête du Sénégal. Rien ne va au sein du parti, nous sommes restés à la base ; aux comités je veux dire sans programmes, sans informations, sans animation, sans formations et les structures internes et externes sont restées au stade provisoire, sans changement, sans suivi, sans innovation aucune alors que nous, qui vous savons pragmatique et efficace, sommes persuadés que vous pouvez bel et bien relevez les défis en donnant les directives et conseils qui s’imposent. Ce n’est pas l’opposition qui m’a fait écrire mais je veux que vous nous léguez un parti fort pour nous permettre de dérouler le PSE jusqu’en 2035.
Fidèlement à vous,
Votre jeune compatriote et militant Malick Wade GUEYE depuis Almeria/Espagne
Wadegueye71@yahoo.fr