C’est donc avec une grosse surprise que la bonne dame a entreprise depuis quelques mois de construire un édifice sur le terrain de foot collé à « sa pharmacie » au seul motif pense t’elle « que les populations de cette zone pour la plupart non instruites, ne pourraient s’y opposer ». D’ailleurs tel un vulgaire voleur, notre « Pharmacienne » envoie ces manœuvres pour procéder au métrage du terrain ou la pose de borne que la nuit, preuve qu’elle exerce dans l’illégalité.
Pour rappel, la « pharmacie Diamaguene » en elle-même ne doit son implantation dans la zone qu'à la seule volonté de nos parents qui avaient demandé aux autorités à l’époque d’accepter cette requête puisque la pharmacie la plus proche se trouvait à Thiaroye. De plus, dans cette banlieue dakaroise où le taux de chômage est des plus élevé, ce terrain constitue un des rares lieux de retrouvailles des jeunes, leur évitant la fréquentation de la plage de Diamaguene trop dangereuse, ou des actes de banditisme.
Enfin, les différentes écoles privées de la zone utilisent toutes ce terrain pour leur cours d’Education Physique et Sportive (EPS), et que dire des habitants de la cité qui, par manque d’espace commun, y organisent aussi des cérémonies culturelles et religieuses (mariages, conférences et autres événements). Comment donc comprendre que sans scrupule, Mme Bathily, parce que bénéficiant de moyens, veuille à elle seule, avec sa famille s’accaparer de ce terrain ? Quel égoïsme, quel manque de culture de vie en société !
Oui manque de culture sociétale, parce que Mme Bathily d’ailleurs depuis 20 ans n’a jamais employé un seul habitant de la Cité Sabé qui compte pourtant des étudiants en pharmacie, aucun acte posé pour l’amélioration du cadre de vie des populations, aucun centime sorti pour soutenir les familles qui ont toujours fait tous leurs achats dans cette pharmacie. Mme Bathily, ce « monstre froid » sans cœur, veut se muer en « spéculateur foncier ».
Nous disons non et comme face à ses devanciers « bouffeurs de terrain nu » nous feront face. Au Km 16 route de Rufisque malheureusement pour Mme Bathily, se réveillent des banquiers, des journalistes, des ingénieurs, des inspecteurs des impôts et même de …futurs pharmaciens. Mme Bathily, nous ferons face.
Le collectif des habitants de la Cité Sabe
Pour rappel, la « pharmacie Diamaguene » en elle-même ne doit son implantation dans la zone qu'à la seule volonté de nos parents qui avaient demandé aux autorités à l’époque d’accepter cette requête puisque la pharmacie la plus proche se trouvait à Thiaroye. De plus, dans cette banlieue dakaroise où le taux de chômage est des plus élevé, ce terrain constitue un des rares lieux de retrouvailles des jeunes, leur évitant la fréquentation de la plage de Diamaguene trop dangereuse, ou des actes de banditisme.
Enfin, les différentes écoles privées de la zone utilisent toutes ce terrain pour leur cours d’Education Physique et Sportive (EPS), et que dire des habitants de la cité qui, par manque d’espace commun, y organisent aussi des cérémonies culturelles et religieuses (mariages, conférences et autres événements). Comment donc comprendre que sans scrupule, Mme Bathily, parce que bénéficiant de moyens, veuille à elle seule, avec sa famille s’accaparer de ce terrain ? Quel égoïsme, quel manque de culture de vie en société !
Oui manque de culture sociétale, parce que Mme Bathily d’ailleurs depuis 20 ans n’a jamais employé un seul habitant de la Cité Sabé qui compte pourtant des étudiants en pharmacie, aucun acte posé pour l’amélioration du cadre de vie des populations, aucun centime sorti pour soutenir les familles qui ont toujours fait tous leurs achats dans cette pharmacie. Mme Bathily, ce « monstre froid » sans cœur, veut se muer en « spéculateur foncier ».
Nous disons non et comme face à ses devanciers « bouffeurs de terrain nu » nous feront face. Au Km 16 route de Rufisque malheureusement pour Mme Bathily, se réveillent des banquiers, des journalistes, des ingénieurs, des inspecteurs des impôts et même de …futurs pharmaciens. Mme Bathily, nous ferons face.
Le collectif des habitants de la Cité Sabe