En effet, selon une étude de l’Association pour la Promotion et la Responsabilisation des Acteurs de la Pêche Artisanale Maritime (Aprapam), il faut en moyenne 5 tonnes de poisson pour fabriquer une tonne de farine de poisson ou encore 5 kg de poisson pour un kg de farine de poisson et 20 kg de poisson pour un litre d’huile de poisson.
Ce qui fait dire aux acteurs que la prolifération de ces usines constitue une énorme crise pour les pêcheurs et leurs familles. Pour Greenpeace, cette crise est liée à la mauvaise gestion des ressources halieutiques.
Réaffirmant ainsi son soutien aux communautés de pêcheurs, Greenpeace Afrique exhorte l’Etat du Sénégal à mettre en oeuvre les recommandations issues de la concertation nationale sur les usines de farine et d’huile de poisson, notamment le gel des autorisations d’implantation de nouvelles usines au Sénégal. Elle demande également d’interdire l’utilisation du poisson frais par les usines de farine et d’huile de poisson et de limiter leur production à l’utilisation des résidus issus des usines et sites de transformation des produits de la pêche.
L’As
Ce qui fait dire aux acteurs que la prolifération de ces usines constitue une énorme crise pour les pêcheurs et leurs familles. Pour Greenpeace, cette crise est liée à la mauvaise gestion des ressources halieutiques.
Réaffirmant ainsi son soutien aux communautés de pêcheurs, Greenpeace Afrique exhorte l’Etat du Sénégal à mettre en oeuvre les recommandations issues de la concertation nationale sur les usines de farine et d’huile de poisson, notamment le gel des autorisations d’implantation de nouvelles usines au Sénégal. Elle demande également d’interdire l’utilisation du poisson frais par les usines de farine et d’huile de poisson et de limiter leur production à l’utilisation des résidus issus des usines et sites de transformation des produits de la pêche.
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