Après la place de l’Indépendance, c’est un autre front que les élus de Taxawu Dakar ont ouvert, hier, à Sacré-Cœur. Et c’est Barthélémy Dias qui est en bras de fer avec certains de ses administrés qui dénoncent son projet d’aménagement du terrain de la Boulangerie jaune dans ladite localité. Mais aussi l’autorité administrative. Il est accompagné et appuyé par des élus socialistes, notamment le maire de Dakar, Khalifa Sall, Alioune Ndoye et Jean Baptiste Diouf qui étaient tous présents. Selon Barthélémy Dias, le sous-préfet des Almadies, Abdoul Wahabou Thioune, leur a envoyé une correspondance pour demander l’arrêt des travaux sur le terrain. "Je rappelle qu’il ne s’agit pas de travaux. C’est un aménagement qui concerne le titre foncier de la commune. La saisine du sous-préfet des Almadies est illégale, non fondée, et non recevable", juge le socialiste. M. Dias et ses conseillers ont décidé de réaliser leur projet à travers un partenariat public/privé.
Aux yeux du maire de Mermoz-Sacré-Cœur, une société ne peut pas débloquer 400 millions de F Cfa pour faire un supermarché et qu’on se permette de bloquer les chantiers qui devaient rapporter 50 millions F Cfa par mois pour la location. "Ce n’est pas acceptable. Malheureusement, il y a un sentiment de dégoût général qui ne dit pas son nom. Et j’invite la Descos dont la tutelle est le ministère de l’Urbanisme à se ressaisir parce que ce dernier à en face de lui des Républicains. Nous avons accepté d’accueillir un de ses projets au nom de la courtoisie républicaine", lance l’édile de la commune. A l’endroit de ses administrés qui sont en croisade contre ledit projet, Barthélémy Dias déclare : "Ce n’est pas votre manifestation qui nous fera reculer. Si vous avez des propositions, nos portes ne vous ont jamais été fermées".
Aux yeux du maire de Mermoz-Sacré-Cœur, une société ne peut pas débloquer 400 millions de F Cfa pour faire un supermarché et qu’on se permette de bloquer les chantiers qui devaient rapporter 50 millions F Cfa par mois pour la location. "Ce n’est pas acceptable. Malheureusement, il y a un sentiment de dégoût général qui ne dit pas son nom. Et j’invite la Descos dont la tutelle est le ministère de l’Urbanisme à se ressaisir parce que ce dernier à en face de lui des Républicains. Nous avons accepté d’accueillir un de ses projets au nom de la courtoisie républicaine", lance l’édile de la commune. A l’endroit de ses administrés qui sont en croisade contre ledit projet, Barthélémy Dias déclare : "Ce n’est pas votre manifestation qui nous fera reculer. Si vous avez des propositions, nos portes ne vous ont jamais été fermées".