«Nous ne cesserons jamais assez de sensibiliser les populations sur la tuberculose. La maladie existe ici à Guédiawaye, car les cas ne cessent de monter. De janvier à octobre, nous avons enregistré 540 cas de tuberculose dans le district de Guédiawaye. Le pic, qui est de 780 cas, sera bientôt atteint», explique Ellen Tacko.
À l’en croire, ce qui est plus ahurissant c’est que le district a enrôlé des cas qui ne se traitent pas sur place. «Nous démarrons le traitement puis les malades retournent dans leurs localités d’origine», s’inquiète-elle. Par ailleurs, elle relève que dans ledistrict de Guédiawaye, les hommes font plus la tuberculose que les femmes. «La plupart de nos malades sont âgés entre 17 et 50 ans. Les hommes sont plus nombreux que les femmes», confesse la chargée du traitement de la tuberculose dans le district de Guédiawaye.
«La plupart des malades nous des hôpitaux de Roi Baudouin, Dalal Jam, et l’hôpital de Pikine». Ellen Tacko s’exprimait au sortir d’une activité de sensibilisation sur la tuberculose, tenue à marché Bou Bess à Guédiawaye. Elle rentre dans le cadre du programme dénommé «Vigilance transport».
«À cause de la stigmatisation, un malade de la tuberculose refuse toujours de se faire soigner dans sa localité d’origine. Il emprunte les transports pour aller ailleurs. En cours de route, cet individu malade pourra contaminer plusieurs personnes. Sachant cela, nous avons initié ce programme pour sensibiliser les chauffeurs et tous ceux qui gravitent autour. Le message sera axé sur la contamination et la prévention», explique Adama Niang, coordonnateur du Réseau national des associations de lutte contre la tuberculose.
Tribune
À l’en croire, ce qui est plus ahurissant c’est que le district a enrôlé des cas qui ne se traitent pas sur place. «Nous démarrons le traitement puis les malades retournent dans leurs localités d’origine», s’inquiète-elle. Par ailleurs, elle relève que dans ledistrict de Guédiawaye, les hommes font plus la tuberculose que les femmes. «La plupart de nos malades sont âgés entre 17 et 50 ans. Les hommes sont plus nombreux que les femmes», confesse la chargée du traitement de la tuberculose dans le district de Guédiawaye.
«La plupart des malades nous des hôpitaux de Roi Baudouin, Dalal Jam, et l’hôpital de Pikine». Ellen Tacko s’exprimait au sortir d’une activité de sensibilisation sur la tuberculose, tenue à marché Bou Bess à Guédiawaye. Elle rentre dans le cadre du programme dénommé «Vigilance transport».
«À cause de la stigmatisation, un malade de la tuberculose refuse toujours de se faire soigner dans sa localité d’origine. Il emprunte les transports pour aller ailleurs. En cours de route, cet individu malade pourra contaminer plusieurs personnes. Sachant cela, nous avons initié ce programme pour sensibiliser les chauffeurs et tous ceux qui gravitent autour. Le message sera axé sur la contamination et la prévention», explique Adama Niang, coordonnateur du Réseau national des associations de lutte contre la tuberculose.
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