C’est connu, le 3 décembre prochain est la journée internationale des personnes handicapées. En perspective de cette date, les personnes handicapées de Pikine ont fait face à la presse, ce mercredi. Elles contestent les statistiques du gouvernement. « Le rapport de juin 2011 de la Banque mondiale et de l’Organisation mondiale de la santé (Oms) atteste qu’au Sénégal, il y a 15,5% de personnes handicapées. Puis l’Agence nationale pour la statistique et la démographie (ANSD), nous parle de 5, 9 % de personnes handicapées. Elle a utilisé un instrument qu’on appelle le Washington group qui est une série de questions qui laisse en rade beaucoup d'handicapées», a déclaré secrétaire général de la Fédération sénégalaise des associations de personnes handicapées, Moussa Thiaré.
Ainsi, les membres viennent de mettre sur pied un cadre pour le respect des traités sur leurs droits. « La minorité veut bouleverser le système par l’approche droit. Donc, cette structure aura comme mission de veilleur à l’accomplissement des objectifs de développement durables, les textes et règlements au plan international et national notamment la convention du droit des personnes handicapées, la loi d’orientation sociale, le traité de Marrakech», a énuméré le coordonnateur du traité de Marrakech en Afrique Francophone. Moussa Thiaré et non moins président Amitié des aveugles du Sénégal (AAS), de soutenir que ledit cadre se veut être un moyen de sensibilisation de la population par rapport à la prise en compte des personnes handicapées de façon spécifique et surtout à la notion d’inclusion. D’après lui, « le handicap n’est autre qu’une déficience dans un environnement inadapté».
Seneweb
Ainsi, les membres viennent de mettre sur pied un cadre pour le respect des traités sur leurs droits. « La minorité veut bouleverser le système par l’approche droit. Donc, cette structure aura comme mission de veilleur à l’accomplissement des objectifs de développement durables, les textes et règlements au plan international et national notamment la convention du droit des personnes handicapées, la loi d’orientation sociale, le traité de Marrakech», a énuméré le coordonnateur du traité de Marrakech en Afrique Francophone. Moussa Thiaré et non moins président Amitié des aveugles du Sénégal (AAS), de soutenir que ledit cadre se veut être un moyen de sensibilisation de la population par rapport à la prise en compte des personnes handicapées de façon spécifique et surtout à la notion d’inclusion. D’après lui, « le handicap n’est autre qu’une déficience dans un environnement inadapté».
Seneweb