Malgré le patriotisme de bistrot et les rituels d'une fausse virilité que ces caniches et cornaqués dirigeants africains sont en train de débiter, comme une litanie. La France a décidément et plus que jamais déterminée, à renforcer sa mainmise sur l'Afrique, et influencer la trajectoire culturelle, sociale et politique du continent.
Et ceci, malgré une communication de flûte et des déclarations d'ambition surfaites, ponctuées souvent par une maladresse de justifications improbables, la France n'est pas encore dans des bonnes dispositions à permettre aux africains de déterminer leur souveraineté économique.
La menace terroriste ne sert en réalité qu'un paravent pour la France à maintenir son contrôle sur cette "zone d'influence" afin d'assurer la défense de ses intérêts, notamment ceux des (ARREVA) et Bolloré. Ceci trouve sa pertinence sur le fait même que, l’opération Serval au Mali, n’a pas mis fin au terrorisme ni aux menaces que celui-ci fait peser sur les populations.
Ce magnat de l'économie français,surnommé le dernier empereur de l'Afrique, construit prudemment son empire économique qui se renforce avec la signature à Niamey , entre le Bolloré Africa Logistic (BAL), sa filiale, et l'État du Niger, d'un accord de concession pour la construction de la "Boucle ferroviaire", un tronçon de chemin de fer de 1065 km, devant relier Niamey à Cotonou, et le Togo au Cote d'Ivoire, en passant par le Burkina Faso, le Niger et Bénin.
Donc,comme le disait De Gaulle, «il faut prendre les choses comme elles sont, car on ne fait pas de politique autrement que sur les réalités ».
Par conséquent, la France n'accepterait point de laisser des entreprises chinoises rafler sous son nez aux entreprises françaises, les contrats de concessions et les grands travaux de construction. Et sans compter que, en république Camerounaise, le groupe Bolloré — d'après le magazine jeune Afrique— est adjudicataire de la concession d'exploitation du Terminal à conteneur s du port de Kribi, en consortium avec son compatriote (CMAC CGM) et le chinois Échec.
Le groupe est présent dans 46 pays africains et détient une trentaine de concessions portuaires, ferroviaires et fluviales sur le continent, lit-on dans le magazine.
Maintenant, en analysant les démarches assidues de la France,on se rend compte de son intention d’accaparer tous les grands travaux au Sénégal.On aperçoit d’ailleurs que le tronçon de 42 km devant relier Diamniadio à l'aéroport international Blaise Diagne de Diass, un chantier de voies en construction est géré aussi bien par la Franco-sénégalaise Eiffage et l’entreprise chinoise Cwe.
Et, dans les milieux bien informés du pouvoir, il parait que le Directeur et ses patrons en France déploient d'intenses tractations dans le but d’accaparer la réalisation et la gestion des autoroutes à péage du Sénégal. Depuis de longs mois, ils mènent un effort soutenu et un intense lobbying pour supplanter l’entreprise chinoise qui doit construire ce tronçon
Pour se convaincre de cette option de la France, il faut observer son "ingéniosité létale" et banditisme meurtrier. Poussant 'même une telle infamie, sans reculer devant les crimes des opérations secrètes et clandestines. Et, le Magazine "Le Point», dans son numéro du 08 Août 2015, titré :"L'État de droit a sa part d'ombre. Le président de la République a le droit de tuer" nous en donne un aperçu.
Et, dans le même sillage, très alerte, pointu et raffiné ".Vincent Nouzille" nous gratifie d'un éclairage très décapant. En affirmant que: « Oui, la France tue parfois pour régler des comptes. Oui, la France mène clandestinement depuis des décennies, au nom de la protection de ses intérêts au Moyen-Orient , à la Françafrique des actions meurtrières inavouables : vengeances d’État, assassinats en séries, attentats commandités par l’Élysée, guérillas sanglantes, éradication de chefs terroristes, emploi de mercenaires sulfureux ou de services secrets alliés peu regardants...
Pour ce faire, la DGSE dispose par son Service Action et en marge de celui-ci, d’une cellule clandestine dont ce livre retrace l’histoire. Ses agents et commandos des forces spéciales sont entraînés pour mener à bien ces exécutions ciblées, appelées "opération Homo" (pour homicide), ainsi que des opérations plus vastes de "neutralisation", souvent en marge des conflits déclarés. Les présidents successifs de la Ve République, de De Gaulle à Hollande, ont, chacun à leur manière, recouru à ce type d’actions, même s’ils s’en sont défendus. »
C'est là que les propos de Jean Christophe Ruffin, ont tout leur sens, surtout quant il évoque:que le régime de Macky Sall est très immobiliste en ce qui concerne de nombreux points. "Il prend peu d'initiatives et se montre défensif sur de nombreuses questions", analyse Ruffin. Le régime actuel est tellement sur la défensive, que le procès du fils de Wade occupe encore l'essentiel de la vie politique du pays, près de trois ans après l'élection de Macky Sall.
Est-ce, pour exhorter Macky Sall à faire montre de plus de rigueur dans sillage de la dynamique de "lever le pied chinois", ou l'inciter tout bonnement à être intraitable face à son opinion nationale ? Ou d'être Intransigeant contre la très stridente clameur publique qui vitupère l'hégémonie des filiales françaises ? Afin que celle-ci se plie aux dictats des multinationales françaises et désidératas de la politique de l'hexagone. Diantre !Le régime de Macky a automatiquement commencé à faire preuve de raideur vis-à-vis de certaines filières des "jeunes marabouts".
Cette saillie sociopolitique montée en épingle par des politiciens professionnels sous le manteau religieux et tapis dans haut commandement Mouride.
Maintenant, il faudrait que tout le monde sache, que la France voit d’un très mauvais œil, le fait que la Chine grappille sur ses plates-bandes, dans le marché Africain.
Même Jean Pierre Raffarin, l'ex chef du gouvernement français, avait fait de multiples visites en Chine à cet effet. La chine est invitée à lever le pied en Afrique, et en échange, le marché Français lui est actuellement grandement ouvert. Les Français se plaignent d'ailleurs, du fait que la Chine achète tout en France. Tout y passe ports, comme Aéroports. Club Med, Vignobles commerces, etc. Et, que feront-ils quand ils auront tout acheté en France ?
Pour conclure, le ventre mou de la cohésion nationale, c'est cette tendance ethniciste des autorités publiques. Une question, quoique sensible, mais présente dans le fonctionnement de l’administration. Cette plaie, politico-sociale, qui, en se conjuguant avec une dose d'anticléricalisme,pour ne pas dire un "eugénisme religieux" dans la citoyenneté active, on fait monter de nouveau au Sénégal toutes sortes de "polarisation sectaire», de revendications confessionnelles et tentation communautaire singulière, comme une manifestation d'anxiété et d'angoisse vis-à-vis de cette politique de discrimination et d'apartheid qui plonge actuellement le Sénégal dans le précipice.
SerigneFallouDieng
Cercle des intellectuels soufis
Et ceci, malgré une communication de flûte et des déclarations d'ambition surfaites, ponctuées souvent par une maladresse de justifications improbables, la France n'est pas encore dans des bonnes dispositions à permettre aux africains de déterminer leur souveraineté économique.
La menace terroriste ne sert en réalité qu'un paravent pour la France à maintenir son contrôle sur cette "zone d'influence" afin d'assurer la défense de ses intérêts, notamment ceux des (ARREVA) et Bolloré. Ceci trouve sa pertinence sur le fait même que, l’opération Serval au Mali, n’a pas mis fin au terrorisme ni aux menaces que celui-ci fait peser sur les populations.
Ce magnat de l'économie français,surnommé le dernier empereur de l'Afrique, construit prudemment son empire économique qui se renforce avec la signature à Niamey , entre le Bolloré Africa Logistic (BAL), sa filiale, et l'État du Niger, d'un accord de concession pour la construction de la "Boucle ferroviaire", un tronçon de chemin de fer de 1065 km, devant relier Niamey à Cotonou, et le Togo au Cote d'Ivoire, en passant par le Burkina Faso, le Niger et Bénin.
Donc,comme le disait De Gaulle, «il faut prendre les choses comme elles sont, car on ne fait pas de politique autrement que sur les réalités ».
Par conséquent, la France n'accepterait point de laisser des entreprises chinoises rafler sous son nez aux entreprises françaises, les contrats de concessions et les grands travaux de construction. Et sans compter que, en république Camerounaise, le groupe Bolloré — d'après le magazine jeune Afrique— est adjudicataire de la concession d'exploitation du Terminal à conteneur s du port de Kribi, en consortium avec son compatriote (CMAC CGM) et le chinois Échec.
Le groupe est présent dans 46 pays africains et détient une trentaine de concessions portuaires, ferroviaires et fluviales sur le continent, lit-on dans le magazine.
Maintenant, en analysant les démarches assidues de la France,on se rend compte de son intention d’accaparer tous les grands travaux au Sénégal.On aperçoit d’ailleurs que le tronçon de 42 km devant relier Diamniadio à l'aéroport international Blaise Diagne de Diass, un chantier de voies en construction est géré aussi bien par la Franco-sénégalaise Eiffage et l’entreprise chinoise Cwe.
Et, dans les milieux bien informés du pouvoir, il parait que le Directeur et ses patrons en France déploient d'intenses tractations dans le but d’accaparer la réalisation et la gestion des autoroutes à péage du Sénégal. Depuis de longs mois, ils mènent un effort soutenu et un intense lobbying pour supplanter l’entreprise chinoise qui doit construire ce tronçon
Pour se convaincre de cette option de la France, il faut observer son "ingéniosité létale" et banditisme meurtrier. Poussant 'même une telle infamie, sans reculer devant les crimes des opérations secrètes et clandestines. Et, le Magazine "Le Point», dans son numéro du 08 Août 2015, titré :"L'État de droit a sa part d'ombre. Le président de la République a le droit de tuer" nous en donne un aperçu.
Et, dans le même sillage, très alerte, pointu et raffiné ".Vincent Nouzille" nous gratifie d'un éclairage très décapant. En affirmant que: « Oui, la France tue parfois pour régler des comptes. Oui, la France mène clandestinement depuis des décennies, au nom de la protection de ses intérêts au Moyen-Orient , à la Françafrique des actions meurtrières inavouables : vengeances d’État, assassinats en séries, attentats commandités par l’Élysée, guérillas sanglantes, éradication de chefs terroristes, emploi de mercenaires sulfureux ou de services secrets alliés peu regardants...
Pour ce faire, la DGSE dispose par son Service Action et en marge de celui-ci, d’une cellule clandestine dont ce livre retrace l’histoire. Ses agents et commandos des forces spéciales sont entraînés pour mener à bien ces exécutions ciblées, appelées "opération Homo" (pour homicide), ainsi que des opérations plus vastes de "neutralisation", souvent en marge des conflits déclarés. Les présidents successifs de la Ve République, de De Gaulle à Hollande, ont, chacun à leur manière, recouru à ce type d’actions, même s’ils s’en sont défendus. »
C'est là que les propos de Jean Christophe Ruffin, ont tout leur sens, surtout quant il évoque:que le régime de Macky Sall est très immobiliste en ce qui concerne de nombreux points. "Il prend peu d'initiatives et se montre défensif sur de nombreuses questions", analyse Ruffin. Le régime actuel est tellement sur la défensive, que le procès du fils de Wade occupe encore l'essentiel de la vie politique du pays, près de trois ans après l'élection de Macky Sall.
Est-ce, pour exhorter Macky Sall à faire montre de plus de rigueur dans sillage de la dynamique de "lever le pied chinois", ou l'inciter tout bonnement à être intraitable face à son opinion nationale ? Ou d'être Intransigeant contre la très stridente clameur publique qui vitupère l'hégémonie des filiales françaises ? Afin que celle-ci se plie aux dictats des multinationales françaises et désidératas de la politique de l'hexagone. Diantre !Le régime de Macky a automatiquement commencé à faire preuve de raideur vis-à-vis de certaines filières des "jeunes marabouts".
Cette saillie sociopolitique montée en épingle par des politiciens professionnels sous le manteau religieux et tapis dans haut commandement Mouride.
Maintenant, il faudrait que tout le monde sache, que la France voit d’un très mauvais œil, le fait que la Chine grappille sur ses plates-bandes, dans le marché Africain.
Même Jean Pierre Raffarin, l'ex chef du gouvernement français, avait fait de multiples visites en Chine à cet effet. La chine est invitée à lever le pied en Afrique, et en échange, le marché Français lui est actuellement grandement ouvert. Les Français se plaignent d'ailleurs, du fait que la Chine achète tout en France. Tout y passe ports, comme Aéroports. Club Med, Vignobles commerces, etc. Et, que feront-ils quand ils auront tout acheté en France ?
Pour conclure, le ventre mou de la cohésion nationale, c'est cette tendance ethniciste des autorités publiques. Une question, quoique sensible, mais présente dans le fonctionnement de l’administration. Cette plaie, politico-sociale, qui, en se conjuguant avec une dose d'anticléricalisme,pour ne pas dire un "eugénisme religieux" dans la citoyenneté active, on fait monter de nouveau au Sénégal toutes sortes de "polarisation sectaire», de revendications confessionnelles et tentation communautaire singulière, comme une manifestation d'anxiété et d'angoisse vis-à-vis de cette politique de discrimination et d'apartheid qui plonge actuellement le Sénégal dans le précipice.
SerigneFallouDieng
Cercle des intellectuels soufis