Le ministre qatari de l’énergie, Mohammed Saleh Al-Sada, qui présidait la réunion, a confirmé ce chiffre. « C’était une très longue réunion à Alger, mais historique », a-t-il déclaré en précisant que le niveau de réduction par pays sera défini d’ici le sommet du cartel à Vienne, le 30 novembre.
Il a souligné que la réunion s’était déroulée dans une atmosphère « très positive reflétant la forte cohérence de l’OPEP » afin de soutenir les prix de l’or noir, en chute libre depuis deux ans.
De son côté, le ministre de l’énergie algérien Noureddine Boutarfaa a expliqué que cette décision inattendue sur une baisse de la production était « unanime et sans réserve ». La veille, l’Arabie saoudite et l’Iran, les deux grands rivaux régionaux au Moyen-Orient, avaient pourtant affiché des divisions.
La Russie, deuxième exportateur mondial derrière l’Arabie saoudite, est présente à Alger mais avait précisé qu’elle n’annoncerait sa position qu’après la rencontre des quatorze membres de l’OPEP.
La nouvelle a immédiatement fait grimper les cours du brut, qui ont clôturé en nette hausse à New York, alors que les marchés s’attendaient au contraire à ce que la réunion aboutisse à un constat de désaccord. Les cours du baril de référence (WTI) aux Etats-Unis a gagné 2,38 dollars à 47,05 dollars sur le contrat pour livraison en novembre. A Londres, le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison à même échéance a également progressé, de 2,72 dollars à 48,69 dollars.
Pourtant, estiment des analystes, un tel accord ne change rien aux fondamentaux du marché, plombé depuis mi-2014 par une offre excédentaire, fruit du boom des hydrocarbures de schiste américains et de la stratégie de l’OPEP d’ouvrir à fond les robinets pour maintenir ses parts de marché.
Il a souligné que la réunion s’était déroulée dans une atmosphère « très positive reflétant la forte cohérence de l’OPEP » afin de soutenir les prix de l’or noir, en chute libre depuis deux ans.
De son côté, le ministre de l’énergie algérien Noureddine Boutarfaa a expliqué que cette décision inattendue sur une baisse de la production était « unanime et sans réserve ». La veille, l’Arabie saoudite et l’Iran, les deux grands rivaux régionaux au Moyen-Orient, avaient pourtant affiché des divisions.
La Russie, deuxième exportateur mondial derrière l’Arabie saoudite, est présente à Alger mais avait précisé qu’elle n’annoncerait sa position qu’après la rencontre des quatorze membres de l’OPEP.
La nouvelle a immédiatement fait grimper les cours du brut, qui ont clôturé en nette hausse à New York, alors que les marchés s’attendaient au contraire à ce que la réunion aboutisse à un constat de désaccord. Les cours du baril de référence (WTI) aux Etats-Unis a gagné 2,38 dollars à 47,05 dollars sur le contrat pour livraison en novembre. A Londres, le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison à même échéance a également progressé, de 2,72 dollars à 48,69 dollars.
Pourtant, estiment des analystes, un tel accord ne change rien aux fondamentaux du marché, plombé depuis mi-2014 par une offre excédentaire, fruit du boom des hydrocarbures de schiste américains et de la stratégie de l’OPEP d’ouvrir à fond les robinets pour maintenir ses parts de marché.