En effet, le TER reliera le centre de la capitale sénégalaise à de nouveaux pôles de développement, dont l’aéroport international Blaise Diagne et la zone économique de Diamniadio.
Pour rappel, les deux groupes français de référence en matière de mobilités (SNCF et RATP) se sont positionnés dès 2014 sur le projet avec la mission d’assistance à maîtrise d’ouvrage confiée à leur filiale commune SYSTRA.
En octobre 2015, SNCF et RATP manifestaient conjointement et officiellement leur intérêt pour accompagner le Sénégal dans les problématiques d’exploitation et de maintenance du TER de Dakar. 

Selon le communiqué, les deux groupes s’inscrivent ’’dans la volonté’’ du président Macky Sall de les voir ’’s’impliquer dans l’exploitation et la maintenance du projet du TER de Dakar’’.
D’ailleurs un protocole d’accord-cadre sera signé dans les prochaines semaines entre les autorités sénégalaise, la SNCF et RATP pour fixer les principes du partenariat sur l’exploitation et la maintenance.
’’Ce premier accord fixera les modalités de travail qui permettront d’arrêter au plus tard mi-2017 les schémas et modalités d’intervention pour l’exploitation et la maintenance sur la base des meilleures pratiques internationales’’, explique le communiqué.
Il souligne que dès l’attribution définitive des marchés (travaux, fourniture, assistance à maîtrise d’ouvrage…), SNCF et RATP se ’’mobiliseront pour apporter l’expertise de l’opérateur afin de garantir l’exploitabilité et la maintenabilité du système selon les standards internationaux’’.

Outre l’exploitation et la maintenance du TER de Dakar, SNCF et RATP, mentionne le texte, ’’souhaitent accompagner les autorités sénégalaises dans la création d’un centre de formation sur les mobilités urbaines, indispensable et préalable à la mise en service commerciale du TER pour former à tous les métiers du transport public de voyageurs l’ensemble des personnels concernés, futurs acteurs de la mobilité à Dakar’’.
’’Les premières ressources SNCF et RATP seront mobilisées dès l’automne 2016.
 SYSTRA, filiale commune de SNCF et RATP, projette de créer à Dakar une filiale autonome pour y développer les expertises ferroviaires nécessaires aux extensions des réseaux prévues dans le pays, et intervenir plus largement en Afrique de l’Ouest’’, ajoute la même source.
Cette structure ’’s’appuiera sur les équipes déjà sur place, mais aussi sur le riche vivier d’ingénieurs issus des écoles et universités locales’’, note le communiqué. Elle ajoute que les implantations locales des groupes SNCF et RATP ’’seront étudiées en fonction des schémas définitifs retenus pour l’exploitation et la formation’’, précise le communiqué’’.
Au mois de juillet, le Premier ministre Mahammed Dionne a annoncé que le TER va nécessiter un investissement de 415 milliards de francs CFA, un montant déjà bouclé par l’Etat.
Prévu sur un parcours de 57 Km, le TER desservira 14 gares et pourra transporter jusqu’à 115.000 passagers par jour, en moins de 45 minutes entre Dakar et l’aéroport international Blaise Diagne.
Pour rappel, les deux groupes français de référence en matière de mobilités (SNCF et RATP) se sont positionnés dès 2014 sur le projet avec la mission d’assistance à maîtrise d’ouvrage confiée à leur filiale commune SYSTRA.
En octobre 2015, SNCF et RATP manifestaient conjointement et officiellement leur intérêt pour accompagner le Sénégal dans les problématiques d’exploitation et de maintenance du TER de Dakar. 

Selon le communiqué, les deux groupes s’inscrivent ’’dans la volonté’’ du président Macky Sall de les voir ’’s’impliquer dans l’exploitation et la maintenance du projet du TER de Dakar’’.
D’ailleurs un protocole d’accord-cadre sera signé dans les prochaines semaines entre les autorités sénégalaise, la SNCF et RATP pour fixer les principes du partenariat sur l’exploitation et la maintenance.
’’Ce premier accord fixera les modalités de travail qui permettront d’arrêter au plus tard mi-2017 les schémas et modalités d’intervention pour l’exploitation et la maintenance sur la base des meilleures pratiques internationales’’, explique le communiqué.
Il souligne que dès l’attribution définitive des marchés (travaux, fourniture, assistance à maîtrise d’ouvrage…), SNCF et RATP se ’’mobiliseront pour apporter l’expertise de l’opérateur afin de garantir l’exploitabilité et la maintenabilité du système selon les standards internationaux’’.

Outre l’exploitation et la maintenance du TER de Dakar, SNCF et RATP, mentionne le texte, ’’souhaitent accompagner les autorités sénégalaises dans la création d’un centre de formation sur les mobilités urbaines, indispensable et préalable à la mise en service commerciale du TER pour former à tous les métiers du transport public de voyageurs l’ensemble des personnels concernés, futurs acteurs de la mobilité à Dakar’’.
’’Les premières ressources SNCF et RATP seront mobilisées dès l’automne 2016.
 SYSTRA, filiale commune de SNCF et RATP, projette de créer à Dakar une filiale autonome pour y développer les expertises ferroviaires nécessaires aux extensions des réseaux prévues dans le pays, et intervenir plus largement en Afrique de l’Ouest’’, ajoute la même source.
Cette structure ’’s’appuiera sur les équipes déjà sur place, mais aussi sur le riche vivier d’ingénieurs issus des écoles et universités locales’’, note le communiqué. Elle ajoute que les implantations locales des groupes SNCF et RATP ’’seront étudiées en fonction des schémas définitifs retenus pour l’exploitation et la formation’’, précise le communiqué’’.
Au mois de juillet, le Premier ministre Mahammed Dionne a annoncé que le TER va nécessiter un investissement de 415 milliards de francs CFA, un montant déjà bouclé par l’Etat.
Prévu sur un parcours de 57 Km, le TER desservira 14 gares et pourra transporter jusqu’à 115.000 passagers par jour, en moins de 45 minutes entre Dakar et l’aéroport international Blaise Diagne.